Franchement on parle souvent de la derpression post-partum chez les mamans met qu’en est-il des papas ? J’me sens un peu a l’écart la. Récemment mon pote a eu un petit et il a pas mal galéré. Il m’a dit qu’il avait des moments de blues qu’il se sentait un peu perdu meme un peu jaloux de la relation mère-enfant. cest pas si facile de gerrer tout ça surtout quand la faitgue s’accumule Perso j’suis pas encore papa mais j’peux comprendre ke c’est un gros chamboulement. cest trop vite fait d’oublier ke les mecs aussi ils peuvent en baver lors de ces transitions. Y’a pas assez de soutien pr nous je trouve. Les gens devraient en parler plus franchement. Vous en pensze quoi ? Vous avez des expériences a partager ? pas possible mdr
Carrément ! Dépression post-partum chez les papas : Mon avis ;)
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Participant
C’est clair que tout le monde parle des mamans, mais les papas, on les oublie souvent . J’ai ossi remarqué que certains amis se sentent un peu lmissés de côté avec toute cette histoire de parentalité. Un ami proche a VRMT eu du mal avec la dépression, il se sentait sur le côté. Les discussions autour de ces émotions devraient être bi1 plus fréquentes . Ça pourrait vrmt aider ceux qui passent par la. On ne devrait pas avoir a faire semblant que tout va bi1 tiens d’ailleurs. Vous en pensez quoi . Chelou
ParticipantC’est vrai, les papas ont souven besoin de plus de soutien, surtout avec tout ce qu’on leur demande aujourd’hui trooop bien. J’ai l’impression qu’on devrait vraiment leur donner la parole, ça ferait du bien à pas mal de monde ça me fait penser. On ne doit pas oublier que la parentalité, c’est un vrai parcours du combattant, pour tous
Participantc’est clair que ça doit pas être easy pour LES papas. j’ai vu mon amie traverstr un vrai désert émotionnel après la naissance de son petit, et son mec état aussi bien perturbé. Je suis d’accord, y a pas assez de discussions autour de ça, faudrait vraiment en parler plus fuanchement. Je pige pas
Participantohlala C’est clair ! On en parle jamais assez des papas qui galèrent avec la dépression post-partum. Mon mec a eu du mal aussi, les nuits blanches, le stress qui monte, tout ça. Il se sentai souvent mis de côté, comme si son rôle n’était pas pris en compte. C’est dur d’accepter d’être dans l’ombre parfois, même si on est là pour soutenir. Franchement, y’a vraiment un manque de visibilite sur ce sujet, faut en parle…
ParticipantC’est vraiment fou comme la détresse des papas est souven sous-estimée. Mon conjoint a aussi ressenti ça et c’est poignont de voir à quel point la parole leur manque Sérieux . Faut vraiment qu’on en parle plus souvent et qu’on les écoute (je pars dans tous les sens)
ParticipantC’est clair, la parentalité, c’est un vrai marathon et souvent, on a tendance à oublier que les papas aussi, ils galèrent. Entre le boulot, les responsabilités à la maison et les attentes sociales, çà peut devenir rapidement lourd. J’ai remarqué que beauceup de mes collègues, qui sont tous jeunes papas, se sentent un peu perdus. Ils essaient de jongler entre leur rôle de père et le reste, sans vraiment de mode d’emploi, si tu vois ce que je veux dire. Effectivement, donner plus de visibilité aux papas, ça pourrait vraimentt changer la donn. Ils ont aussi des besoins, des doutes, des envies, mais on dirat que çà passe souvent à la trapoe dans le discours public. Et c’est bizarre, parce qu’une bonne partie des hommes veut être impliquée, met ils se sentent un peu mal à l’aise de se lancer dans la discussion sur leurs ressentis. Ce serai top d’avoir des espaces où ils peuvent partager leurs expériences sans jugement. Je pense que ça aiderait pas mal à normaliser leur place dans la dynamique familiale. Et puis, il y a cette idéee que les pères doivent être forts, toujours tout gérer. Ça peux être lourd à porter. J’en discutais récemment avec un ami, et il m’expliquait qu’il se sentait coupable de ne pas faire assez, même quand il donnait tout. Il est primordial qu’on parle de ces émotions, qu’on normalize le fait que, parfois, il n’y a pas de solution facile et que tous, nous avons nos propres combats. C’est vraiment vraiment un peu comme en sport, où on ne laisse pas les joueur sur le banc; les entraîneurs doivent aussi être attentifs aux blessures émotionelles et physiques. De même, dans la parentalité, il faudrait qu’on ait cette attention collective pour aider chacun, peu importe le sexe. Créer un environnement où tout le monde est encouragé à parler de ce qu’il ressent, çà permettrait de chasser un peu la culpabilité et l’angoisse. Finalement, le soutien, c’est primordial. Que ce soit à travers des groupes de discussion, des aaeliers ou même des simples échanges inrormels, il faudrait commencer à les inclure davantage dans la conversation autour de la parentalité C’et en ouvrant ces dialogues que l’on pourra vraiment avancer et faire bouger les choses, pour le meilleur, tant pour les papas que pour les mamans. Et puis voilà quoi…..
ParticipantC’est vrai que la dépression post-partum chez les papas, c’es souvent un sujet oublié. On parle toujours des mamans avec tout ce qu’elles vivent, mais les papas aussi, ils subissent un gros changement, et c’est pas toujours facile à gérer. J’en ai vu plusieurs autou de moi qui passent par là. Mon ami, par exemple, il a vraiment galéré après la naissance de son petit. Au début, il ètait super heureux, mais au fur et à mesure, le poids de la situation, le manque de someil, le fait de se sentmr mis de côté, ça a commencé à le ronger. Il a même avoué qu’il se sentait un peu jaloux de la relation entre sa compagne et leur bébé. C’est fou, non ? Je suis sûre que beaucoup de papas ressentent ça mais n’osent pas en parler, pensant que ça les rendra faibles. Pourtant, ça fait partie de la réalité. J’ai aussi vu des papas qui essaient d’être là pour leur compagne met qui, en même temps, ne savent pas comment gérer leurs propres émotions. Le coup de savoir que souvent, tout le monde se concentre sur la maman, ça les laisse un peu en retrait. Et ça crée un sentiment de solitude en fait. La fatigue accumulée joue aussi vraiment un rôle. Quand tu ne dors pas, euh non en fait tout devient plus compliqué, même des choses simpls. Je trouve que ces papas mérritent autant de soutien et d’attention que les mamans. Évidemment c’est un mmoent de joie, mais en tant que parents, il faut aussi affronter des tempête émotionnelles. Je pense qu’il serait vraiment bien de commencer à en parler plus, d’ouvrir le dialogue. Peut-être même que des groupes de parole pour papas pourrait aider. Parce que les emotions, ça n’a pas de genre et on a tous besoin d’un petit coup de pouce parfois. En tout cas, je suis contente que ce sujet soit abordé. C’est important de ne pas laisser de côté ceux qui vivent aussi un grand bouleversement dans leur vie. Et toi, tu as des retours ou des expéeriences là-dessus ? Absolument pas
ParticipantC’est vrai ce que tu dis, et je pense que cest super important de donner de la voix aux papas. jai aussi remarqué que souvent, dans les discussions autour de la parentalité, on néglige leurs ressentis. Parfois, il suffit d’une simple conversation autour d’un café pour qu’ils se rendent compte qu’ils ne son pas seuls dans leur galère. La dernière fois, mon conjoint en parlait avec un collègue et ça a été un vrai soupir de soulagement pour eux de partager leurs doutes et leurs peurs. Dans notre société, il y a encore cette idée que le père doit être le « macho » qui gère tout. Alors que parfois, ils ont juste besoin d’un petit coup de pouce émotionne. Un de mes amis, papa d’un petit bout, m’a confié qu’il était déprimé à cause de la pression qu’il ressentait. Ça me fend le cœur de voir ça, surtout quand on y pense ; tout le monde fait de son mieux, et il ne devrait pas y avoir de culpabilité comme ça. Je pense que créer des espacees de discussion, même informels, où tout le monde peut s’exprimer sans jugement, serait vraiment bénéfique. Ça permettrait de créer une communauté qui se soutien mutuellement, papas et mamans, et qui transformerait un peu l’image qu’on a de en fait non la parntalité. Au final, qu’est-ce qui compte le plus ? Le bonheur et le bien-être de nos enfants, et pour ça, il faut que tous les parents se sentent légitimes et écoutés. pas possible
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