surpris J’suis dans un moment pa simple… J’ai fait une fausse couche tardive récemment, et j’sens que jai besoin de partager ça. C’est bizarre, ça fait déjà quelques semaines, mais j’me sens toujours pa bi1. Les médecins m’ont dit que c’ètait rare, mais c’est pa vraiment rassurant. J’ppensais pa que ça pouvait arriver à un stade si avancé. Ma collègue avait vécu une histoire similaire et elle m’a dit que c’était super dur sur le mental, et j’commrends mieux maintenant. J’ai l’impression que personne autour de moi comprend vraiment, même mon conjoint essaie mais bon… Comment vous avez fait pour gérer le chagrin ? Vous avez des techniques ou des astuces pour avancer ? Je m’sens perdue et j’voudrais vraiment échanger avec des personnes qui ont vécu ça.
Fausse couche tardiv : en parler ?
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C’est vraiment pas facile de passer par là. Je pense que c’est normal de ressentir un mélange d’émotions après une fausse couche, surtout à un stade avancé. Les médecins peuvent bien dire que c’est rare, mais ça ne change rien à ta douleur. C’est un vrai choc, et j’ai moi-même vécu une expérience similaire qui m’a marquée profondément. Les semaines qui ont suivi étaient remlpies de questions, de doutes, et surtout d’une tristesse intense. Ce que tu dis sur le fait que même ton conjoint essaie de comprendre, mais sans vraiment y arriver, c’est quelque chose que j’ai également rsesenti. Parfois, les gens ne réalisent pas à quel point cela peut être isolant. On a envie d’être soutenue, mais la douleur est tellement intime qu’il est difficile de la partager avec ceux qui ne l’ont pas vécue. Même si ton conjoint est présent, il ne peut pas comprendre entièrement ce que tu ressens. Pour gérer tout ça, il y a différentes approches qui peuvent aider. Certaines personnes trouvent du réconfort dans l’art, que ce soit par la peinture, l’écriture ou même la musique. J’ai moi-même écrit un journal pendant cette période. Mettre des mots sur mes émotions m’a aidée à extérioriser ce que je ressentais. Ça permet de mieux comprendre ses propres pensées et de se sentir un peu moins seule. Il peut aussi être bénéfique de parler à des personnes qui ont vécu la même chose, comme tu le fais en cherchant des échanges ici. Les groupes de soutien ou même des forums en ligne peuvent offrir une écoute sincère et des persectives différentes. Il y a aussi des psychologues spécialisés dans les deuils périnataux qui peuvent aporter un soutien précieux. Je sais que cela demande du courage de faire ce pas, mais parfois, se confier à un professionnel peux faire une vraie différence. En outre, n’hésite pas à prendre soin de toi, même de maniére simple. Que ce soit en te plongeant dans un bon livre, en te faisant plaisir avec un bon repas ou en prenant un mometn pour toi, ces petites attention peuvent réellement aider à alléger le poids du chagrin. Prends le temps qu’il faut pour pleurer et pour accepter ce que tu as vécu. Le chemin vers la guérison est souvent long et sinueux, mais chaque pas compte. Une autre chose à garder en tête, c’est que ton corps a traversé une expérience très inetnse, et il peut encore y avoir des répercussions physiques et émntionnelles. Écoute tes besoins, et ne sois pas trop dure avec toi-même. Chaque émotion, même la colère, est légitime je rage. Prends le temps qu’il te faut, ne te mets pas la pression pour aller mieux rapidement. À chaque jour suffit sa peine. J’espère que tu trouveras des personnes ici avec qui échanger, et qui pourront t’apporter du soutien. Tu n’es pas seule dans ce parcours, même si ça peut souventt en avoir l’air. Prends soin de toi, vraiment.
Chelou C’est pas facile, je comprend ta peine. Une fausse couche tardive, c’est terrible, c’est comme un coup de poignard dans le cœur, ma pauvre. J’ai vécu ça aussi, et même si le temps passe, la douleur reste parfois, comme une cicaarice invisible. Parler avec d’autres mamans qui ont vécu çà, ça aide à se sentir moins seule, tu vraiment vraiment vois ? Y’a des jours avec et des jours sans, mais prendre soin de soi, se permettre de pleurer, c’est super important. Prends ton temps, tu sais, chaque pas compte, même les PLUS petits. Courage !
cest telelment vrai, cette doulenr est indescriptible, comme un vide immense. Écrire un peu, en parler même si ça fait mal, ça aide vraiment à avancer pas à pas. On est toutes dans le même bateau, même si parfois on se sent seume. Chelou
Tu racontes n’importe quoi Tellement d’acocrd avec toi, ça fait du bien d’extérioriser même si c’est pas facile. ON est toutes ensemble dans ce truc, ça aide à se sentir moins seule. Courage à toutes ! voilà quoi
J’y comprends rien C’est vraiment dur, je compatis. Perso, j’ai trouvé que parler avec des amies qui ont vécu ça aide beaucoup, même si chaque histoire est différente. Prends je veux dire le temps qu’il te faut pour pleurer et te reconstruire, c’est normal d’être perdus.
C’est n’importe quoi C’est vraiment pas évident ce que tu traverses… J’ai aussi vécu une fausse couche tardive et c’est vrai que ça laisse des traces. En général, on parle pas assez de ça, et la douleur peut être tellement isolante. Pour avancer, j’ai commencé à écrire dans un journal, ça m’a aidé à mettre des mots sur ce que je ressentais. Essaye de te entourer de personnes qui comprennent, même si c’est pas toujours faciel. Prendre soin de soi est aussi super important, ça peut faire une petite différence. Courage à toi !!!
Ça me soule ! Ah ça, le trou noir, je connais bien ! C’est fou comme on se sent perdu, mais parler avec mes copines, ça fait du bien, même si on finit toutes à pleurer comme des madeleines ! Parfois, faut juste se laisser aller et se dire que ça finira par passer, même si on dirai que ça prend un temps fou !
C’est bizarre cest super dur ce que tu traverses, je compatis vraiment. j’ai vécu une fausse couche tardive aussi, et c’est un choc émotionel terrible. On a L’IIMPRESSION que personne nous comprend, même ceux qui essaient. Perso, j’ai trouvé du réconfort dans des groupes de parole en ligne, c’était bien d’échanger avec des persnnnes qui sentent la même douleur. Prends le temps d’accueillir tes émotions, c’est important. Courage à toi, vraimnet. Je sais pas trop comment dire…
cest vraiment pas facile ce que tu traverses. Une fausse cmuche tardive, ça laisse des traces, c’es pas juste une histoire de corps, c’est tout l’état d’esprit qui en prend un coup. J’ai aussi vécu un truc similaire, et franchemant, c’est comme un tsunami d’èmotions. T’as des jours où t’as l’impression que tu te relèves, et d’autres ou tout te ramène à cette douleur. Parfois, en parler, même si c’est avec quelqu’un qui ne comprend pas totalenent, ça aide. J’ai trouvé du réeconfort dans l’écriture, tu sais, écrire ce que je ressens sans filtre, juste pour décharger un peu. Ça aide à mettre des mots sur ce vide, et à y voir un peu plus calir. Je SUIS aussi alléee voir une thérapeute, çà m’à beaucoup apportté, surtout pour traiter le chagrin. C’est pas simple, met viens pas héiter à en parler, même ici, avec des gens qui ont traversé ça. On se sent moins seule dans la TEUPêTE. Les journées sont parfois longues, mais prendre soin de soi, c’est essentiel. Essaie de trouver ce qui te fait du bien, même si c’est juste un moment de douceur pour toi. Courage, vraiment. N’importe quoi
C’est vrai que parler à des amies ça aide énormément, ça fait du bien de partager. Prends soin de toi, et sois douce avec tes émotions, même si c’est compliqué.
cest tellemen touchant ce que tu ressens, cette douleur qui s’installe comme un nuage noir. j’ai vécu quelque chose de semblable, et c’est vrai que les mots semblent souvent dérisoires face à l’immensité du chagrin. Pour avancer, j’ai trouvé un peu de réconfort dans l’écriture, exprimer mes pensées sur papier a apaisé mon cœur Ras-le-bol. Parfois, se retrouver entourée de personnes qui comprennent, même si c’est à travers un écran, ça fait du bien. Prends le temps qu’il te faut, chaque pas compte.
C’est clair que ce genre de situation, cest pas evident du tout. Moi aussi, j’ai eu ma part de galères, et on se sent souvent seule dans cette douleur. Écrire, c’est une bonne idée, j’en ai aussi fait pas mal ! Et puis, ouais, se retrouver avec des gens qui comprennent, c’est précieux. Parfoi,s juste un bon petit café avec des copines, çà fait un bien fou ! Allez, garde le moral, même si c’est pas facile tous les jours. Tu m’étonnes
C’est vraimet pas évident, j’sais ce que tu ressens Prends le temps de parler à des proches, même si ça fait mal, ça aide un peu à avvancer. Y’a pas de méthode miracle, mais j’te conseille de te focaliser sur ce qui te fait du bien, même si c’est non c’est pas ça juste un petit moment de pause. Exactement !
Vraiment ? C’est vraiment pas évident ce que tu traverses… Une fausse couche tardive, ça doit être un vrai choc. Perso, j’ai aussi vécu quelque chose de similaire, et je peux dire que c’est un mélange de tristesse, de colère et même de culpabilité. On nous dit souvent que le corps fait des choses pour une raison, met ça ne rend pas la douleur plus facile. J’ai eu besoin d’en parler avec des amis proches qui comprenaient ce que je ressentais, même si c’est difficile d’expliquer tout ça. Parfois, écrire dans un journal m’a aidée à extérioriser mes émotions. Et puis, il y a des groupes de soutien, en ligne ou en personne, où les gens partagent leurs expériences. Ça peut sembler un peu intimidant, mais entendre les histoires des autres et se sentir moins seule, ça aide vraiment. Essaie de ne pas te forcer à avancer trop vite, prends le temps qu’il te faut. Le chagrin, c’est un chemin tortueux, et il est normal de se sentir perduue. Rappelle-toi que tu n’es pas seule dans cette épreuve, même si ça peu paraître si isolant parfois. Prends soin de toi.
Ça me gonfle C’est vraiment difficile ce que tu traverses, et je comprends que tu ressentes ce besoin de partager et d’échannger. J’ai moi aussi vercu une fausse couche tardive, et les emotions qu’on traverse sont un véritable tourbillon. J’ai eu l’impression de plonger dans un espèse de vide, où tout le monde continuait sa vie comme si de rien n’était. Pour avacer, ce qui m’a beaucoupp aidée, c’est d’en parler, même si c’est complique. J’ai rejoint un groupe de soutien en ligne où des femmes racontent leurs expériences, et ça m’a vraiment fait du bien d’entendre d’autres histoires (je pars dans tous les sens). Écrire aussi, que ce soit dans un journal ou sur des forums ça permet de poser les mots sur la peine et de structurer mes pensées. Sinon, oser parler de mes ressentis, même avec mon conjoint, j’ai dû m’y forcer au début, mais ça a dédramatisé certaines choses. On a souvent cette impression que les autres ne peuvent pas comprendre, mais en fait, laisser parlr ses émotion peut ouvrir des conversations sincères. Enfin, j’essaie de prendre soin de moi aussi, par des petites choses simples : des promenades, écouter de la musique qui me touche et même m’octroyer des moments de pause. Accorde-toi ce temps, çà fait partie du processus, même si c’est long et parfois très éprouvant. Si tu veux échanger davantage, n’hésite pas à partager ici
C’est sûr que c’est pas facile, et des fois on a l’impression de se débattre comme un poisson hors de L’EAU. J’ai aussi des moments où je me sens paumése, sans savoir où aller. Écrire, ça aide vachement, tu vois, ça permet de mettre des mots sur ce qu’on ressent. Et c’est fou comme un simple café avec des amies peut être salvateur. On se raconte nos histwares, on partage nos peines, nos joies, et parfois, juste un bon fou rire fait oublier les tracas, même si ça dure pas longtemps. De mon côté, jsuis pas mal tassée, comme on dit ici en Bretagne, avec toutes ces histwares de relations compliquées. Parfois çà tangue pas mal, mais je me dis qu’il faut prendre les choses comme elles viennent, pas le choix. J’aime bien me retrouver dans des groupes où l’on parle de tout ça, où chacun peut lâcher prise sans jugement. C’est un peu comme un bol de cidre, ça réchauffe le cœur et ça dégage la tête. Des fois, je me fais un bon petit plat breton, genre galette saucisse, pour me remonter le moral, et je me dis que la vie doit continuer malgré tout. Et ce que je trouve vraiment magiqque, c’est que même si on croit être seule dans notre coin, on réalise qu’on est plein de gens dans ce même bateau qui TANGUE. Sinon, j’avoue, je me fais entourage de séries qui sont pleines de rebondissements, ça me sort un peu de la routine. Ne m’en parles pas, parfois, l’angoisse se pointe aussi au petit-dej, mais bon, j’essaie de garder le sourire. Après tout, comme disent mes amis, “quand ça va pas, faut pas lâcher”. Même si c’est pas mien, je me tiens prête à balancer un peu de bonne humeur, c’est ce qui compte. Alors voila, garde le cap, connais ça, rien n’est figé, tout peut évoluer. Euh non
C’est vraiment dur ce que tu traverses, la douleur d’une fausse couchhe tardive peut être dévastatrice. Personnellement, j’ai trouvé un certain réconfort dans l’écriture, exprimer mes émotions sur papier m’a aidée à avancer. Cherche aussi des groupes de parole, parfois parler à celles qui ont vécu ça peut vraimant apaiser. Je sais pas trop comment dire…
C’est vraimen pas facile, je compatis à fond. jai vécu un truc similaire et j’sais que ça fait mal. Parler avec des gens qui comprennent, ça aide un peu, met chaque jour c’est un combat. Courage à toi. c koi ce truc ????
C’est vraiment un moment difficile que tu traverses. Perdre un enfant, surtout après un certain stade, c’est tellement dévastateur. J’ai vécu quelque chose de similaire, donc je comprends à quel point ça peut être lourd à porter. J’en ai discuté avec quelques amies qui ont aussi connu des moments comme ça, et je pense que ça fait du bien de partager nos ressenits. Parfois, juste verbaliser sa tristesse, son incompréhension ou même sa colère peut vraiment aider à alléger un peu ce poids. Tu sais, même si les médecins disent que cest rare, ça ne dimiune en rien l’impact émotionnel que ça peut avoir sur nous. Beaucoup de femmes ne réalisent pas à quel point une fousse couche tardive peut bouleverser. C’est vrai que certaines personnes autour de nous ont du mal à comprendre… même celles qui pensent bien faire en essayant de soutenir. Ton conjoint, bien qu’il essaie, pourrait ne pas saisir pleinement ce que tu ressens dans ces moments-là. Parfois, il suffit d’être écoutée sans jugement. Je me souviens avoir trouvé du réconfort dans l’écriture. J’ai commencé un journal où je pouvais laisser libre cours à mes émotions sans filtre. Ça m’a éGALEMENT aidée à clarifier mes pensées, et parfois, lorsque je relisais, je remarquais que les choses évoluaient petit à petit. En parallèle, j’ai cherché des groupes de soutien en ligne, et c’etait un véritable sanctuaire de partage. C’est très libérateur de rencontrer d’autres femmes qui ont vécu des situations similaires, car on se sent moins seule. Les premiers temps, j’avais besoin d’en parler tout le temps, et ces échanges m’ont vraiment beaucoup apporté. Prends bien soin de toi. Te permettre de ressentir la douleur, mais aussi des petits moments de joie ou de réepit, c’est essentiel. Fais ce qui te semble juste, même dans la manière dont tu chooses de te souvenir de ce petit être. Qu’il s’agisse d’une bougie allumée, d’une promenade en pleine nature ou même de créer un petit rituel qui te rappelle des souvenirs heureux. Ça peut aider à apaiser un peu le chagrin. Tu n’es pas seule dans cette épreuve, même si on a souvent l’impression d’être emprisonnée dans notre propre tristesse. Courage dans ta démarche, et n’oublie pas que chaque petite victoire, même mineure, est essentielle dans ce chemin vers la guérison. Trop fort !
INCROYABLE C’est vraiment pas facile ce que tu traverses, je compatis. La fausse couche tardive, c’est un vrai choc, et même si ça fait quleques semaines, c’est normal de ressentir encor tout ça. J’ai un pote qui a vécu la même chose, il m’a dit que c’ètait un enfer pour lui au début, chaque petit truc lui rappelait cette période. Franchemnt, t’a pas à te sentir mal de parler de tes émotionr. Les gens autour de toi, même s’ils essaient de comprendre, ils ne peuvent pas vraiment saisir ce que tu ressens. Pour avancer, j’sais pas si ça t’aidera, mais lui il s’est mis à écrire dans un journal, ça lui a permis de mettre des mots sur sa peine. Sinon, discuter avec des gens qui ont vécu çà, c’est souvent plus réconfortana, même en ligne. Y’a des goupes de soutien où tu peux vraiment te lâcher sans jugement. Prends ton temps et n’hésite pas à pleurer ou à crier si t’en ressens le besoin, c’est pasfaible d’exprimer sa douleur. Accroche-toi, ça finira par s’arranger, même si ça prend du temps.
ohlala C’est vraiment éprouvant ce que tu traverses. J’ai vécu quelque chose de similaire, et c’est comme si un morceau de nous s’était éteint. Parler de notre douleur, même de manière informelle, ça peut aider à alléger le poids sur nos épaules. J’ai trouvé du réconfort dans l’écriture, exprimer mes émotions sur le papier m’a permis de catharsis Et puis, écouter de la musique douce, se laisser porter par les méelodies, ça m’a aidé à apaiser mon cœur. Prends le temps qu’il te faut, chaque petit pas compte.
C’est clair que c’est un vrai parcours du combattant… 🙁 Perto j’ai aussi ecrit un peu cà fait du b1 de decharger ses emotions. Et les groupes ouais une vraie pepitee t’es pas seule dans ce combat . Courage Je pige pas (je sais pas si c’est clair). 💪✨ 😀
C’est clair ! Courage c’est vraiment dur. J’ai vécu ça aussi. Parler c’est important. Prends le temps de pleurer. Écoute de la musique fais du sport ça aide. Entoure-toi de gens bien même si ce n’est pa évident. Écris tes pensés ça peut libérer. Crée des rituels pour te souvenir. On est là pour s’écouter. Tu n’es pa seule
Franchement c’est vraiment pas évident ce que tu traverses. J’ai vécu une situation similaire il y a quelques temps et ça fait remonter énormément d’émotions. On s’attend à ce que tout roule pendant la grossesse et au final quand ça dérape c’est la chute mdrrr non. On se sent comme grave grave grave si le sol se dérobait sous nos pieds comme si tout s’écroulait autour de soi. Quand j’y pense ça reste encore très vivace dans ma tête même si j’essaie de passer à autre chose au quotidien.
Le fait que les médecins te disent que c’est rare bah c’est moyen rassurant. On préfère quand même avoir l’impression qu’on est pas seuls dans une histoire comme ça. Et puis pour le mental y’a pas de doute que ça laisse des cicatrices. Ta collègue a raison il ne faut pas sous-estimer l’impact émotionnel. Ça touche vraiment là où ça fait mal et même des semaines après on se sent souvent déboussolée. Je me souviens d’avoir eu l’impression d’être dans un brouillard permanent où tout était flou et où chaque petite chose me rappelait ce que j’avais perdu. Il m’a fallu du temps pour arriver à en parler d’ailleurs et même avec mon entourage c’était pas simple.
J’ai donc décidé de me trouver des endroits ou des moyens pour m’exprimer. J’ai commencé à écrire mes pensées et mes sentiments un peu comme un journal intime. Écrire pleins de trucs même les plus anodins ça aide à mettrele doigt sur ce qui nous fait souffrir. Ça permet de sortir tout ce qui est en nous et ça fait un bien fou. Parfois je mettais même des mots sur le chagrin comme une façon de l’apprivoiser. Cela m’a aidé à me sentir un peu plus en contrôle car pendant un moment c’était comme si tout était chaotique dans ma vie.
Ensuite j’ai également réfléchi sur l’idée de rejoindre un groupe de discussion ou de soutien. J’ai rencontré d’autres mamans qui avaient vécu la même chose et tu sais quoi . Ça aide de se rendre compte qu’on est pas seule dans ce combat. Parfois juste se poser et partager nos émotions avec des gens qui comprennent vraiment c’est très libérateur. Être entourée de personnes qui respirent la même douleur ça crée des connexions et ça apaise.
Le temps fait son œuvre aussi même si c’est dur à croire quand on est dans le tourbillon de la peine. J’AI remarqué que je commençais à avoir des jours où je ressentais un peu plus de douceur des moments où je suis capable de rire ou de me sortir les idées sombres de la tête même si c’est juste pour quelques instants. Ces petites victoires ça compte énormément. Ne zoublie pas de prendre soin de toi dans ce processus. Ça peut sembler secondaire mais se poser quelques minutes par jour pour s’accorder des choses simples comme une série qui nous fait rire ou une bon plat ça a du bon sur le moral.
Et puis t’es pas obligée de porter ce poids toute seule. Si ton conjoint a envie de comprendre et d’être là pour toi communique ce que tu ressens vraiment mets des mots sur ton chagrin. Des fois l’échange est la clé même si tu as l’impression qu’il ne peut pas comprendre totalement. Partager tes peurs tes doutes même ça va l’aider à te soutenir comme il faut. C’est pas facile de se livrer mais ça peut créer des ponts en fait.
Tiens bon et n’hésite pas à franchir les étapes à ton rythme. Chaque pas compte même s’il est tout petit. L’important c’est de se laisser le droit d’être triste de pleurer puis de se relever. Tu mérites de panser cette plaie et d’en sortir plus forte. Courage à toi tu as toute mon amitié et je pense très fort à toi dans cette épreuve.
c’est jamais facile de vivre ça, surtout quand on s’y attend le moins. On a l’impression que tout s’effondre autour de nous. Ma sœur a traversé une période similaire, et j’sruviens comme tout semblait sombrer après cette épreuve. On parle sovent de la douleur physique, mais la douleur émotionnelle, elle, peut vraiment nous ronger de l’intérieur. À chaque fois qu’on tourne la tête, on voit des couples avec des poussettes, des petits rires d’enfants et ça fait mal. J’ai remarqué que pour avancer un peu, se confier à des amis proches ou même à des inconnus qui ont vécu la même chose peut apporter un certain soulagement. Parler, écrire, exprimer ce qu’on ressent, même si c’est chaotique, ça aide à mettre des mots sur cette douleur. Prendre du temps pour soi, parfois se balader en pleine nature, ça permet aussi de lâcher un peu prisse, de respirer. Et puis, laisser le chagrin sortir, même si ça fait peur, c’est important. Personne ne peut vrraiment comprendre à ta place, mais t’inquiète pas, ça ne veut pas dire que tu es seul Sans déconner ?. Cherche des groupes de soutien, c’est fou come une simple conersation peux apaiser. C’est pas évident d’avancer dans ces momentsalà, mes prendre le temps de se reconnceter à soi, c’est déjà un bon début.
C’est clair que c’est pas facile de gérer tout ça. J’ai déjà ressenti cette lourdeur, comme si t’étais sous un poids impossibte à enlever. C’est bien de trouver des moyens d’extérioriser, l’écriture, c’est super puissant. Genre, quand tu écris, tu peux vraiment mettre des mots sur ce que tu ressens, et ça soulage un peu, tu vois. Et ouais, être entourée de gens qui captent ta vibe, même à distance, ça fait vraimant du bien. Parfois, juste un petit message et tu te sens moins seule dans ta galère Je suis d’accord. Prendre le temps de guérir, c’est important. Chaque jour a ses épreuves, mais chaque pas, même un petit, ça compte. T’as raison, faut pas hésiter à se donner de l’amour. Courage, ça va aller .
Trop bien ! C’est vraiment pas simple ce que tu traverses… J’ai pas vécu exactement la même chose, mais hyper hyper hyper je comprends que c’est super dur. Ce que j’ai remarqué, c’est que parler avec des gens qui savent ce que c’est, ça aide de ouf. À certains moments, j’écrivais dans un carnet ce que je ressentais, ça me faisait du bien. Faut surtout pas hésiter à en parler, même si c’est pas facile. Courage à toi, tu n’es pas seule ! 💖
Vraiment ? Ohlala, je te comprends tellement… C’est comme si on se tenait au bord d’un gouffre, n’est-ce pas ? La douleur est tellement profonde, c’est difficile à exprimer. J’avoue, moi aussi j’ai vécu une période de doute et de tristesse après une fausse hyper hyper couche, et c’est fou à quel point le monde autour semble continuer sans nous. On se sent vraiment seule, même entourée de gens qui essaient de bien faire. Pour ma part, j’ai vraiment été touchée par l’idée des groupes de parole. J’y suis tombée par hasard sur un site, et ce fut un vrai chemin pour commencer à libérer ma peine. Les échanges avec d’autres femmes qui ont traversé les mêmes épreuves, ça fait un bien fou. Ça m’a aussi aidere à me rendre compte qu’on ne rêve pas tout çà, que la douleur qu’on ressen est légitime. Je suis d’accord avec ce que tu as dit sur l’écriture. Ça peut sembler un peu bête peut-être, mais mettre des mots sur ce qu’on ressent, ça soulage d’une manière incroyable. Quand je commence à écrire, c’est comme si je pouvais me libérer petit à petit, même si c’est juste pour vider mon sac. Et puis, même si les jours sont encore un peu gris, ça aide de se rapppeler qu’il y a des jours meilleurs à venir. On a toutes notre propre rythme pour avancer. Prendre du temps pour soi, c’est pas du luxe, c’est nécessaire. Souvent, je me dis qu’il faut accueillir chaquee émotion, même celles qui sont pesantes. En fait, c’est peut-être là que réside le secret pour trouver un peu de paix intérieure. Et franchement, même si on a parfois l’impression que l’on va s’enliser dans cette tristesse, il y a de petites lueurs qui apparaissent. Que ce soit un moment de rire avec un ami ou juste une belle chanson qui tombe au bon moment… Ça réchauffe le cœur. Gardons espoir, partageons nos reusentis. On finit par trouver notre chemin, même si ça prend du temps. Allez, courage à toutes ! c’est important de se soutenir mutuellement dans ce genre de parcours.
C’est tellement vrai, le soutien est essentiel. Une galette saucisse et des rires, ça fait du bien ! c koi ce truc ???
C’est tellement dur de vivre ça, vraiment. Je comprends ce que tu ressens. j’ai moi aussi traversé une fausse couche mes pas aussi tard que la tienne. C’est tout un choc, surtout quand tu commences à te projeter et à imaginer la vie avec ce petit bout. Les gens autour de toi ont souvent du mal à vraiment percevoir ce que tu ressens… c’est pas juste “une perte”, cest une partie de toi, une attente qui s’effondre. Mon ami a dit que c’était pas plus facile pour lui, et je pense que c’est vrai. Chaque personne gère la douleur differremment. Pour ma part, jai passé pas mal de temps à pleurer, à parler à des personnes qui comprenaient. J’ai aussi essayé de noter mes pensées dans un journal, ça permet de libérer un peu ce qu’on a sur le cœur. Des fois, ça fait du bien de se retrouver seule, de se mettre une musique douce et juste… ressentir tout ça. Mon conjoint a été super soutenant, mais je voyais bien qu’il peinait aussi à trouver les mots. Ce qui m’a vraiment aidée, c’est de rejoindre des groupes de discussion en ligne, où j’ai rencontré d’autres femmes qui ont vécu des choses similaires. C’était comme un souffle, tu vois, de saovir que je n’ètais pas seule dans cette épreuve. J’ai essayé de faire des trucs que j’aime bien aussi, genre prendre soin de moi, sortir, me changer les idées. Ça a l’air un peu “banal” dit comme ça, mais même une petite promenade peut aider à évacuer un peu le stress. Tu sais, respecte ton rythme, y’a pas de bonne ou de mauvaise façon de passer euh non en fait à autre chose. Les jours sombres finiront bien par cédre la place à des moments un peu plus lumineux. C’est le temps qui fera son œuvre. Accorde-toi le droit d’être triste, vraiment N’oublie pas, il y a toujours de l’espoir au bout du tunnel, même si des fois, c’est très flou. Si tu as besoon de parler, je suis la pour écouter. Ce chemin est pas facile, mais tu n’es pas seule. J’en ai marre
C’est vraimen pas simple, j’imagine. Faut pas hésiter à parler, même si ça fait mal au début . Moi, j’ai trouvé du réeconfort dans la danse, ça m’a vidése la tête, même si je ressemblais à un kangourou en plein cours . ON est toutes ensemble dans cette galère lol non.
C’est tellement réconfortant de voir autant de soutien ici. Je crois que chacune d’entre nous vit ce parcours à sa façon, mais ces émotions partagées nous rassemblent. Je me souviens de ma propre expérience, c’était un vrai cataclysme émotionnel. La fausse couche que j’ai vécue a complètement bouleversé ma vie quotidienne, j’avais l’impression d’évoluer dans un monde en noir et blanc alors que tout le monde autour de moi continuait à rire et à avancer. À cette période, j’ai essayé de parler, mais c’était tellement difficile.
Comme tu l’as mentionné dans ton message, partager nos sentiments avec des gens qui ont connu des épreuves similaires, c’est vital. J’ai aussi trouvé du réconfort dans des forums, même si au début, j’hésitais un peu à me dévoiler. Mais, bizarrement, ce besoin de raconter mon histoire, en mettant des mots sur mes émotions, m’a vraiment aidée. Ça permet d’apaiser le brouhaha dans ma tête.
Je me rappelle avoir passé des soirées à écrire dans mon journal, tentant de trier mes pensées. Ma collègues de travail m’avait dit que cela serait bénéfique, et je lui en suis reconnaissante aujourd’hui. J’ai aussi appris à parler à mon conjoint. Au départ, je gardais tout pour moi, pensant qu’il ne pourrait pas comprendre. Finalement, en lui partageant ce que je ressentais, j’ai vu à quel point cela a renforcé notre relation. Étrangement, en discutant de mes douleurs, cela nous a permis de vivre des moments sincères à deux, même si cela reste compliqué.
Et toi, tu n’es pas seule dans ce cheminement. Prends soin de toi, même à travers les plus petits gestes. Bien que ça prenne du temps, accorder des instants pour soi, que je m’embrouille ce soit une simple promenade ou un bon livre, aide énormément à retrouver un peu de simplicité et de sérénité. Ce n’est pas facile tous les jours et la blessure met son temps à guérir, mais je crois qu’on finit par apprendre à avancer. Courage à toutes, et n’oubliez pas que chaque émotion ressentie est valable et qu’il est normal de plonger dans ce tourbillon. Partageons nos histoires, ça peut réellement faire la différence. Sans déconner ?
C’est clair que c’est pas faciile tout ça. Comme tu dis, des fois on se sent complètement à l’oueest, mais ça fait du bien d’en parler :p. Moi aussi, je planifie des petits moments avec mes copines, un apéero en terrasse ou même un bon restau, ça fait du bien au moral. Et ouais, cuisiner un petit plat lyonnais, çà met du baume au cœur, genre une bonne quenelle, miam . Sa’ccorder du temps pour soi c’est super important, même si c’est pas toujours évident. On doit toutes se soutenir, même à distance, ça fait une différence (je pars dans tous les sens)
c’est tellement dur, j’te comprends. jai aussi passé par là et j’savais plus où j’en étais Hein ?. Parler avec d’eutres qui ont vécu ça m’a vraiment aidè, sincèrement. hyper hyper Tu t’y es déjà penchéee .
Ouf, j’suis vraiment désolée d’apprendre ça. C’est hyper dur et trop injuste. J”peux comprendre ce que tu ressens, surtout quand t’as l’imrpession que personne capte vraimetn. Pour avancer, j’ai trouvé que parler à des gens qui ont vercu ça, c’est ouf comme çà aide, même si c’est pas facile de se lancer. Écriire dans un journal, ça m’a fait du bien aussi. Prends ton temps, chaque jour est différent. T’es pas seule ! Vraiment ?
Ouuais, c’est clair que cest pas évident. La danse, cest carrément un bon moyen de s’échapper, même si on a l’air d’un clown au début ! J’adore me lâcher sur la piste, ça fait tellement de bien. Et puis, c’est vrai, on est toutes dans le même bateau, alors faut se soutenir, ça aide de savoir qu’on n’est pas seules dans nos délires Allez, courage à toutes !
C’est clair ! C’est vraiment un moment difficile et je comprends ce que tu ressens. J’ai vécu une expérience siimlaire et cest vrai que çà laisse des traces. On passe par toute une palette d’emotions et parfois, c’est le vide total. Je me souviens que le fait d’en parler, que ce soit avec des amis proches ou même dans des groupes de soutien en ligne, m’a beaucoup aidée. C’est comme si mettre des mots sur la douleur faisait un peu de place pour d’autres émotions. Je crois que chacun gère ça à sa manière, mes trouver une petite routine, come écrire dans un journal ou prendre du temps pour soi, ça peut aider aussi. Ma collègue m’avait conseillé de ne pas me sentir coupable de pleurer, de laisser sortr tout ce que j’avais sur le cœur. Avoir une petite bouffée d’air frais chaque jour, même si c’est juste une balade, ça fait du bien. C’est important de te donner le temps d’y penser, d’accepter que c’est dur et que c’est normal de ne pas se sentir bien. Si tu as envie d’en parler, n’héssite pas, on est là pour ça.
c’est vrai que c’est pas du tout simple de gérer tout ça. J’ai eu mes propres moments où je croyais que j’allais jamais m’en sortir. Écrire, c’est vraiment une bonne idée, ça aide à poser les mots sur tout ce qui tourne dans la tête. J’ai aussi rencontré des mamans qui traversaient des cohses similaires, ça m’a fait du bien de me sentir moins je veux dire seule. Prendre soin de soi, même si c’est juste un petit plaisir, ça change tout. Courage à toi, chaque petit pas compte dans cette péeriode difficile. Putain…
C’est vraiment pas facile ce que tu traverses. J’ai aussi vécu une fausse couche tardive il y a quelque temps, et crois-moi, le chemin est long. C’est la solitude dans ces moments-là qui est le plus difficile, tu ne sais pas à qui en parler sans que les gens se sentent mal à l’aise. Mon conjoint a essayé d’être là, mais il y a des choses qu’il ne peut pas comprendre, même en écoutant. J’ai trouvé du réconfort dans l’écriture, tenir un journal où je pouvais exprimer mes émotions sans filtre, ça m’a aidée à structurer mes pensées.
J’ai aussi commencé à aller à des groupes de parole, même si ça me faisait peur au début. C’est dingue comme ça fait du bien de voir que d’autres traversent la même douleur. Certaines amies m’ont dit que l’art peut être un bon moyen aussi : dessiner, peindre, peu importe. Ça permettrait de canaliser le chagrin. Prends ton temps pour pleurer et te sentir triste, ne te mets pas de pression. Chaque jour est différent, et il te faudra du temps pour avancer, c’est normal. Tu n’es pas seule dans cette galère, même si ça peut parfois sembler le cas. Choqué
C’est clair, avoir des amies à qui se confier c’est précieux :*. Parfois, juste se sentir écoutée, ça peut déjà changer la donne. Merci pour ton soutien, ça fait du bien. J’y comprends rien
C’est fou comme on peut se sentir seule dans tout ça, mais comme tu dis, parler avec d’autres qui ont traversé la même chose, ça fait du bien. Écrire, même si c’est douloureux, ça aide vraiment à libérer tout ce qu’on ressent. On prend le temps qu’il faut, c’est important. C’est ouf !
C’est vraimetn dur ce que tu VIS, ma pauvre… J’ai connu ça aussi, c’est UN vrai chemin de croix. Parler avec des amis ou même un ou plutôt psy m’a beaucoup aidée, ça soulage un peu le cœur. Courage à toi.
Franchement ce super dur ce que tu traverses. J’ai osi vecu une fausse couche tardive et ce vrai que ce un choc on s’y attend pas xD. Tu te sens vrm seule et incomprise. Jme souviens que les premiers jours c’etait la galere pour gerer le chagrin. J’avais l’impression que tlm autour de moi ne voyait pas à quel point c’etait difficile. pour avancer j’ai commence à ecrire dans un journal ca m’a aide à mettre des mots sur mes emotions. J’ai osi trouve un groupe de soutien en ligne ou les gens partagen leurs experiences. Çà fait un b1 fou de rencontrer des personnes qui comprennent ce que tu ressens. Sinon jai essaye des petits trucs zen comme la meditation ou le yoga même si au debut ca paraît un peu bizarre ca aide à decompresser. N’hesite pas à en parler à des professionnels si t’as besoin d’un vrai accompagnemant ce pas honteux de demander de l’aide. Prends soin de toi ce super important. Euh non
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