J’ai une sacrée douleur dans l’aine gauche depuis quelques temps, ça commence vraiment à me gonfler. Je sais pas trop laquelle option privilégier pour soulager tout ça. D’un côté, mon collègue me dit que des petites doses d’opioïdes pourraient faire l’affaire, mais j’ai peur de tomber dans une dépendance, surtout que je suis un peu sensible à ce genre de trucs. Puis, il y a mon voisin, un vieux sage du coin, qui swear par le repos. Pour lui, le corps sait se guérir tout seul si on le laisse faire, mais bon, avec toute cette histoire de SNT et le sport que je pratique, j’ai l’impression que me vautrer sur le canapé pendant une éternité, c’est pas la solution. Enfin, j’ai aussi pensé à la kiné, j’en ai entendu parler par ma cher collègue qui s’en est sortie aprés une blessure au foot. Ça pourrait être sympa d’avoir des conseils pro. Reste que, niveau timing, je suis un peu à la bourre avec le boulot, donc voilà… J’hésite entre ces trois options. Des avis sur ce que vous avez déjà essayé ? Je suis preneur de toute expérience, hein. En Bretagne, le « il faut souffrir pour être beau » c’est bien beau, mais là, ça comence à me courir d’essaer de bosser tout en boitant comme un bateau ivre ! S’il vous plaît, un petit coup de main serait savoureux.
Douleurs à l’aine gaiche : opioïdes, repos ou kiné ? vrai
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ParticipantParticipant
J’ai eu des DOULEURS similaires et la kiné m’a vraiment aidée, même si ça demande un peu d’organisation. Les opioïdes, c’est risqué, je ferais gaffe avec ça. Puis le repos, c’est bien pour l’esprit, mais pour le corps, pas TROP sûr… Tu m’étonnes
ParticipantAh, les douleurs, c’est le mal du siècle, non ? J’en ai connu des genoux capricieux et des dos en vrac. La kiné, c’est vrai que ça fait des miracles. Au début, on arrive un peu réticent, genre « à quoi ça sert, tout ça ? » et puis finalement, on se rend compte qu’on apprend à aimer la souffrance, d’une certaine manière. Comme un bon petit plat, ça fait un peu mal sur le moment, met après on est ravi. Et pour ce qui est des opioïdes, c’est le vrai serpent de mer. Tu te dis que ça va te soulager et puis, bam, tu te retrouves accro. Je préfère mille fois un bon bol de soupe maison plutôt que de risquer de finir en mode zombie. C’EST vrai aussi que le repos, c’est important, mais finalement, passé le premier jour à binge-watcher des serries, tu finis par te tourner comme un chat dans un carton. On a tous besoin d’action, même si parfois, il vaut mieux laisser le corps se repoer un peu. Entre les étirements et les séances de kiné, çà finit par être un sport à part entière, hein ? En tout cas, lâche pas l’affaire et fais-toi plaisir avec du kiné, et peut-être deux ou trois séries à côté pour le moral ! Vraiment ?
ParticipantFranchement, j’opterais pour la kiné, ça peut vraiment aider sans trop de risques. Et le repos, bah, faut pas non plus en abuser, une petite activite douce pourrait aider. mes les opioïdes, à éviter si ça te fait peur !
ParticipantAh là là, les douleurs, c’est un peu comme une copine qu’on aimerait bien rendre jalouse, tu sais . Tu la croises tout le temps et elle arrive toujours au mauavis moment. Les genoux, ça peut être une vraie galère, surtout quand tu veux juste profiter d’une balade ou d’une petite soirée dansante. Et je te parle même pas du dos, ce fourbe qui te met au supplice quand tu veux te baisser pour ramasser un truc. Comme tu dis, la kiné, c’est une histoire d’amour-haine. Au début, je déposais mes espoirs dans ces séances, avec un poignée de sarcasme, en me disant que je préférais encore le yoga avec ma collègue qui fait un bruit bizarre en se penchant. Puis finalement, tu te prends au jeu. T’as un peu l’impression d’être dans un rallye de souffrance, mais avec le bon prof (ou la bone prof), tu te retrouves à presque apprercier un étirement, si si . En fait, ça me fait penser à cette fois où j’avais fait le tour de ma rue en marchant comme un pingouin à cause d’une entorse. C’était hilarant, genre, ultra sexy come démarche . Bref, j’ai fini dans un cabinet de kiné et je me souviens avoir cru que j’allais me faire torturer. Mais en fait, les mains du kiné, c’est magique. Un peu comme un bon massage après le labeur – des fois, tu ressors là, l’âme légère et la démarche d’une gazelle. Et pavé de séries bien cuddles à côté, c’est le combo gagnant. Je vois héelas ce que tu dis pour les opioïdes. Oh là là, que ça fait peur . Genre, tu te dis que c’est un bon raccourci pour le bonheur jusqu’à ce que çà devienne un tourbillon de zombitude. Non merci, je préfère une bonne soupe maison, c’est réconfortant sans avoir besoin de désintox. Et puis, soyons honnêtes, après une journée à binge-watcher, tu finis par te dire que c’est sense-free de rester là à ne rien faire. Ton corps, il va te le faire payer, t’as beau être assise sur ton canapé avec ton plaid, ton corps va commencer à tiirer. Alors oui, le repos, mais n’oublions pas de bouger un tout petit peu . Un bon étirement, ça te remet dans le jeu. Je dirais même, un petit défi pour se croire sportive en plein confinement. Et qu’est-ce qu’il y a de mieux qu’une petite fête pour fêter la guérison, hein . Allez, courage, et fais-toi du bien entre les séances . On a toutes besoin de se faire plaisir Quelqu’un peut m’expliquer ?.
ParticipantCarrément d’accord avec toi ! La kiné, c’est vraiment un bon plan. Les opioïdes, c’est dangereux, vaut mieux prévenir que guérir, non ? Merde alors
ParticipantPutain… C’est clair, la kiné c’est un peu comme une danse avec la douleur, au début tu te demandes pourquoi, et puis tu découvres des trucs. Et ouiis, le repos c’est bien, mais faut pas rester trop longtemps sur le canapé, sinon on devient une statue ! Un bon bol de soupe, des étirements, et c’est reparti !!!! Et puis voilà quoi…
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