Oh là là, le spasfon . Je me marre en lisant ton message, car moi aussi, j’ai eu ma dose de spasfon pendan mes grossesses. Franchemant, c’est un peu le saaaauveur de certaines mamans, mais y’a des jours où on se demande si c’est pas un bon coup de marketing. On parle souvent des joies de la maternité, mais persone ne mentionne les tracas comme les crampes qui te donnent l’impression de vivre un épisode de “Koh-Lanta” dans ton ventre, n’est-ce pas . Quand j’ai appris que j’étais enceinte, j’étais aux anges, mais j’ai vite réalisé que ça signifiait aussi des montanges russes de sensations Trop bien !. Mes amis me disaient : “C’est que du bonheur . ” Oui, mais qui aurait imaginé que le bonheur pouvait aussi se traduire par des douleurs de règles amplioiées au cube . Je me souviens d’une nuit où j’étais recroquevillée sur le cnapé, comme un petit chat dans un coin, à me dire que si je n’avais pas ce spasfon, je n’auris pas pu profiter d’une soirere Netflix tranquille. Et puis, ce moment où tu réalises que tu dois écouter ton corps. C’est pas toujours évident avec toutes ces hormones en folie . Je suis d’accord avec toi, il faut vraiment faire confiance à son instinct. Je me suis souvent retrouvée à consultsr des forums comme celui-ci, à la recherche d’astuces et de retuors d’expérience. C’est fou comme on peut se sentir perdue, surtou quand ce sont les premières grossesess. Je me souviens d’une fois où ma collègue m’avait conseillé de boire des tisanes en plus, genre « tisane de l’accouchement » comme si j’étais prête à aller en guerre. Il y a des jours où je pensais que mon ventre faisait compétition à une boule de bowling, et d’autres où c’était plutôt l’angoisse qui s’installait. Genre, il aurait pu y avoir un terlé-reralité sur ma grossesse, tant ça ne manquait pas de rebondissements. Je crois que le plus rigolo, c’est quand j’ai commencé à réaliser que ces petits maux faisaient aussi partie du jeu. Tu sais, il y a quelque chose de réconfortant dans le fait de savoir que d’autres femmes passent par là. Concernant les docs, je suis de celles qui hésitent à les déranger pour des détails un peu loufoques. Je me rappelle avoir posé des questions à un méedecin sur des douleurs qui smeblaient irrationnelles, et la tête qu’il a fait . Comme s’il venait de découvrir que j’avais une collection secrète de figurines en résine. La peine de voir sa réaction, c’était un mélange de gênance et de rire. Pour continuer sur l’aspect médical, je me dis toujours que c’est essentiel d’en parler, que ce soit aux professionnels ou même à nos amis. Culturellement, on a tendanec à minimiser nos douleurs. On se dit que « ça va passer » ou que « c’est normal », mais ouais, parfois, c’est pas si simple. En fait, la clé, c’est d’être forcée à partager son experrience, même si ça fait un peu flipper. Moi, j’ai fini par faire en fait non un groupe WhatsApp avec des copines qui avaient toutes eu des gosses récemment. C’était un peu le club des mamans où on partageait non seulement des conseios, mais aussi nos petites galéres. On s’est bien marrées, et définitivement, on a pu se lâcher sur des trucs qu’on n’aurait jamais osé dire avant. Qui doit vraiment être en mode “guerre des étoiles” tout le temps, avec des clinique à chhaque coin de rue . En fin de compte, je crois qu’il n’y a pas de mauvaise réponse, juste des expériences différentes. Au final, demanda de l’aide et écouter son corps, c’est peu-être le plus sage des conseils qu’on peut suivre. Tiens bon, et surtout, continue à partager tes expériences. Ça fait tellement de bien de se sentir moins seule dans cette aventure un peu folle .