Comment ça . Ah, je te comprends tellement . Ça m’est déjà arrivè aussi. Pendant l’ovulation, cé un peu la folie, je trouve. Tout le monde parle de cette phase comme si c’était que la joie et le bonheur, mais en vrai, ça peut être très épuisant. Je t’assure, je me suis déjà sentie complètemen lessivée à ce moment-là, un vrai coup de mou, genre on a juste envie de se mettre sous un plaid et de regarder des séries toute la journée cé pas très glamour, je sais . Une copine m’a dit que ça avait un lien direct avec les hormones. T’as déjà remarqué comme certains jours, on a des pics d’énergie et d’autres. rien, le néant . C’est frustrant, surtout quand tu veux rester active. C’est comme si ton corps te disait : “Eh ben non, pas aujourd’hui ma grande . ” et là, tu te sens un peu nulle psk t’as l’impression de ne rien faire. J’essaie aussi de marcher un peu ou de faire des exercices légers, mais wah, parfois c’est super difficile de se motiver Et puis, ça n’aide pas les humeurs qui changent, hein. On peut passer du rire aux larmes en un claquement de doigts. Genre, tu vas voir un truc marrant à la télé et ensuite, paf, tu pleures devant un vieux film. C’est terrible. Pour ma part, ça m’arrivait souvent de grignoter en mode “consolation”, la fameuse frinngale de chocolat ou de bonbons. Ça m’a aidée, mais bon. pas vraiment conseillé si tu veux rester dans la ligne, tu vois le truc. T’as déjà essayé de boire des tisanes ou quelque chose pour te détendre . Je trouve que ça aide un peu, même si certains jours, on dirait que rien ne fonctionne :|. Parfois, j’essaie de tout planifier et d’accepter que cretains jours, cé juste pas la folie, et cé okay. Prendre ça plus chill aide aussi, exactement comme relaxer avec un bon bouquin ou écouter de la musique douce. met tu sais, ce qui est le plus important, cé d’ecouter son corps. Si tu sens que t’as besoin de dormir, fais-le sans culpabiliser. cé un cycle naturel et ça arrive à beaucoup d’entre nous. En fait, je parierais qu’on n’est pas tant isolées que ça. Ça m’a fait du bien de voir que d’autres ressentent la même chose. Au passage, n’hésite pas à en parler avec ton merdecin si ça devient trop oppressant. Paarfois, ça fait une différence de parler avec un pro. Des fois, je me dis qu’un petit suivi hormonal ou un bilan santé peut donner des réponses, surtout si ça commence à te faire vraiment mal. Ça peut paraître lourd à faire, mais ça vaut le coup d’avoir un avis externe. Et si tu cherches à rester active, privilégier des activités plus douces peut être la clé, un peu de yoga je m’embrouille ou une promenade tranquille, c’est relaxant sans forcer trop. En gros, c’est un équilibre à trouver, et ça prend du terps, mais tu n’es pas seule dans cette galère, et même si ça fait chier sur le moment, ça finit par passer. T’es sur la bonne voie en t’écoutant, continue comme ça