Écoute, je vais te dire un truc, ça divise beaucoup ce sujet. Personnellement, je trouve ça un peu absurde de rester enfermé chez soi si on a juste un petit mal de tête ou un truc du genre. C’est pas comme si on était en train de se faire opérer ou quoi. Être en arrêt-maladie, c’est avant tout pour récupérer, et parfois ça passe aussi par sortir un peu, prendre l’air, se changer les idéses. À Marseille, avec ce beau temps, je comprends tout à fait l’envie de faire un tour à la plage ou dans un parc. Apres, je sais que certains vont dire que c’est risqué, que ça peut poser des problèmes si jamais on se fait contrôler par un médecin ou si notre employeur met son nez là-dedans. C’est sûr que si tu fais un gros scandale sur les réeseaux sociaux en te tapant une aprem à la plage en ayant dit que tu étais malade, ça peut te retomber dessus et c’est pas très malin. Mais si tu vois personne et que tu restes discrète, je ne vois pas où est le mal. Franchement, il faut trouver le juste milieu, non ? Mon amie m’a raconté qu’elle a pris l’air alors qu’elle se remettait d’une grippe. Elle est allée faire une petite balade tranquille sans faire le con, et ça l’à vraiment aidée. Moi-même, j’ai eu des arrêts où je suis sortie, juste pour une balade au bord de la mer. Ça reconnecte avec le monde, et ça peut vraiment faire du bien à la tête ! C’est quand même fou que la loi, ou même la morale, se mêle de ça alors qu’on est censées être des adultes responsables. Il y a plein de témoignges de personnes qui ont vécu la même chose, parfois même sans l’avouer à leur entourage, mais ça reste entre nous, la vie continue. Dans tous les cas, il vaut mieux juger au cas par cas et voir la gravité de ce qu’on a. Si vraiment t’es clouée au lit par un gros malaise, ok, tu restes à la mison. Mais s’l s’agit juste d’une fatiguée, un peu d’air frais, ça ne fera pas de mal, je pense. Toi, comment tu vois les choses ? Tu envisages de sortir un peu ce week-end, ou tu peéfères rester Koté T’es ?