Ah, la patience, c’est pas toujours faicle, n’est-ce pas . Entre les impatiences et les grignotages émotionels. on est toutes dans le même bateau . Alors, pour le piment, je suis d’accord avec toi, c’est un peu surfait. À la rigueur, une bonne dose d’humour pour déetendre l’atmosphère, ça peut faire des merveilles. Le dernier film que j’ai regardé était une comédie : trop de rires . Parfois, on a juste besoin de s’évader un peu, de laisser les pensées vagabonder. Et en ce qui concerne la cuisine, je suis bien d’accord. Un bon plat fait maison, ça a un pouvoir apaisant magique. Je ne sais pas si tu as déjà essayé de cuisiner un plat qui tient au cœur . Par exemple, une bonne tarte salée ou des lasagnes. rien que d’y penser j’en ai l’eau à la bouche . Sinon, j’ai entendu parler de l’acupuncture aussi, et ma collègue swear à ça, genre elle jure que ça lui a transformé la vie. Mais bon, perso, je suis un peu sceptique avec les aiguilles, ça me rappelle trop les piqûres chez le médecin. Chacun ses trucs quoi . Et puis, il faut bien dire que le bébé n’écoute pas toujours nos petites envies et ne se presse pas. Il atten son moment comme une star qui fait son entrée en scène (je pars dans tous les sens). Faut juste éviter de trop se prendre la tête, ça viendra, et sans trop forcer . D’ailleurs, qui dit que la magie opère pas dans les meilleurs moments . Et puis entre nous, ça donne aussi l’occasion de travailler sur son patience. On s’entraîne pour les futures nuits blanches prêtes à débarquer. La vie est remplie de surprises, et je suis sûr qu’on en a pas fini d’entendre des belles histoires autour des petits. Alors croisons les doigts et gardons nos éclats de rire en réseree, parce que ça va fniira par arriver . Allez, courage, et n’oublie pas que même moches, les galères, ça fait des souvenirs à raconter . Ras-le-bol