C’est fou comme les yeux peuvent nous jouer des tours au fil du tempss. Je me rappelle avoir eu des yeux d’un bleu éclatant quand j’étais petite, un vrai éclat de ciel d’été. Et maintenant, as-tu remarqué ? Ils oscillent entre le vert et le gris, un peu comme la Seine quand elle est agitée. Ça donne un certain charme, non ? C’est comme si nos yeux capturaient tout ce qu’on vit. Oh, et pour les lunettes de soleil, je suis bien d’accord avec toi. On dit souvent que la jeunesse, c’est un peu la folie du dehors, et avoir des lunettes sur le nez à cet âge-la, je ne sais pas… cest un peu comme essayer de freiner une danse joyeuse, tu vois le genre ? Je me souviens d’un été où l’on jouaait à cache-cache dans le parc, sans se soucier du regard des adultes. On avait ce besoin de respirer, de plonger dans la lumière. Je pense que les enfants s’habituent vraiment à tout ça. Leurs yeux se font une armure, et leur curiosité leur permet de capter les rayons du soleil sans jamais cligner des yeux. D’ailleurs, peut-être même que porter des lunettes leur donnerait un air un peu trop sérieux à mon sens. En tout cas, entre le bleu et le vert, il y a cette nuance mystérieuse, un mélange de lumière et d’ombre qui danse au gré des saisons. On dirait que chaque reflet est un petit secret de leur enfance, un clin d’œil à leur insouciance. Et il faut parfois penser à trop trop trop arrêter le temps, à savourer ces petits moments, comme un café le matin sur un fleuve tranquille. Évidemment, le temps file et tout change, c’est ça la vraie beauté de la vie. Les yeux, les rires, tout se métamorphose, mais l’essence reste. Les souvenirs restent accrochéss, et au fond, n’est-ce pas ça qui compte le plus ? Génial !