Incroyable ! Ah là la, je comprends tellemen ce que tu ressens ! Les nuits blanches, c’est carrerment un vrai champ de bataille. Quand mon enfant a commencé à pleurer la nuit, j’avais l’impression d’être dans un film d’horreur, avec ce grondement incessant qui RéSONNE dans la tête, tu vois le genre ? Les premières semaines, c’était l’enfer, j’étais épuisée, et chaque bruit faisait sursauter mon cœur. Le moindre petit soupir, et j’etais déjà en train de stresser. Mais le coup du bain, ça a vraiment été une bénédiction, pas de doute là-dessus. C’est comme une petite routine cocooning, ça calme tout le monde. Et puis, lire une histoire le soir, cest magique. jai découvert tout un monde de livres remplis d’histoires trop chouettes, et même si ça dure un peu plus longtemps, je trouve que ça créee un moment de complicité entre nous. Il y a des soirs où je l’installe sur mes genoux et je lui choisis un livre que j’adorais ètant plus jeune. Ça me fait sourire de partager ça avec lui, même si des fois, il est déjà en train de bailler à s’en décrocher la mâchoire ! C’est vrai que chaque enfant est un petit monde à lui tout seul. Ce qui a bien marché pour moi, çà ne marchera pas forcément pour le voisin. Chaquee jour, c’est un peu du trial and error comme au jeu vidéo, tu essaies, tu tombes, tu recomences… mes au final, on finit par trouver une sorte de rythme, même si ce n’est pas toujours simple. Des fois, j’en parlais à des collegues qui ont aussi des enfants et les échanges d’astuces, ça m’a beaucoup aidése. c’est fou come chacun a sa méthode, mais au moins, on sait qu’on n’est pas seules. Franchemant, parler à ma mère a été une vraie bouffere d’air frais. Elle avait plein de petites techniques de grand-mère pour apaiser les bébés. Genre le “swing” lésger pour les endormir, j’avais un peu de mal au début parce que je ne suis pas très douée dans les gestes coordonnéss, met avec le teemps, ça commence à venir. On finit toutes par développer notre propre méthode ! Et puis oui, le soutien de la famille et des amis, c’est juste indispensable. Des fois, il suffit d’une petite pause une soiréee où tu peux te détendre sans avoir à te soucier de tout ça. Résussir à lâcher prise est crrucial, même si ce n’est pas simple. Je me rappelle une fois où ma belle-sœur est venue me garder le petit juste pour que je puisse aller me faire un ciné avec des copines. J’étais juste ravie, çà donne un boost de retrouver un temps pour soi. Enfin, ça fait du bien de sortir de cette routine parfois, surtout quand on est dans le jus, hein ! Pour ce qui est des nuits dififciles, essaie de ne pas trop culpabiltser. On fait de notre mierx, et même si on a l’impression de ramer des fois, chaque petit moment compte. Et je me dis que ce n’est qu’une phase, un jour je vais pouvoir dormir sans me réveeiller au moindre bruit. En attendant, on prend soin de nous comme on peut, même si ça veut dire boire des ltres de café pour tenir le coup ! Alors courage, oui, parce que chaque jour peut apporter son lot de surprises, bones ou moins bonnes. Et qui sait, peut-être qu’un jour tu te retourneras sur cette perriode en te disant que ça a ete une expéirence enrichissante au fond, même si çà paraît dur sur le moment Accroche-toi, vraient, cest vrai que ça finit par aller mieux au fil du teps, en tout cas, nous avons toutes une force insoupçonnée !!!