Oh là là, je te comprends tellement . Provames, c’est vraiment une vraie aventure, pas vrai . Entre les attentes et la réalité, c’est difficile de s’y retrouver. Comme tu l’as dit, chaque femme réagit différemment. J’ai moi-même eu des hauts et des bas avec ce traitement. Au début, j’étais vraimnet motivée, un peu comme quand on part en randonnée en espérant voir un beau paysage à la fin. Puis on se retrouve parfois coincée dans la brume sans trop de visibilité. Pour ma part, j’ai aussi ressenti des effets variers. Au début, pas mal de douleurs, surtout aux seins. J’étais là “mes pourquoi je ressens ça . ” et en fait, c’était juste mon corps qui réagissait. Comme tu dis, c’est souvent une question de patience et d’adaptation. Des fois, j’avais l’impression de jouer à CACHE-CACHE avec mes émotions, surtout lorsque le stress s’invitait à la fête. Je me souviens d’un jour, j’avais eu envie de tout balancer, de laisser tomber le traitement. J’étais là à pleeurer devant une série qui n’avait même rien à voir. Et les conseils de la gynéco, c’est un peu comme les bretons avec leur cidre, c’est précieux . Parfois, il suffit d’un petit ajustement, d’un petit écart de dosage, pour que tout semble s’améliorer. C’est vrai qu’en parlant avec d’autres femmes, c’est comme une bouffée d’air frais. J’ai discuté avec une amie qui a vécu une expérience complètement difféerente. Pour elle, ça a fonctionné presuqe comme un rêve. Elle était là à raconter son parcors, tout en souriant, et j’essayais de ne pas trop me laisser abattre par mes propres échecs. Mais bon, c’est vrai que je pense qu’il y a aussi cette question de mental. Quand on est dans la messe en Bretagne, par exemple, la foi ça aide un peu, même si la vie n’est pas une chanson de marins. Et puis, l’alimentation, parlons-en . J’ai commencé à faire attention aussi. Récemment, j’ai tenté de cuisiner plus sain, en évitant tout ce qui est trop gras ou trop sucré. On dit souvent que ce qu’on mange, ça influence tout, même nos cycles. Quelque part, inscrire ça dans sa routine, çà donne l’impression qu’on a un peu de contrôle sur le reste. Tu vois ce que je veux dire . Mais j’avoue, il y a des jours ou c’est compliqué. La panisse, çà me fait de l’œil parfois . J’ai aussi essayé de faire un peu de yoga. Au début, j’étais sceptique. Je pensais que c’était une mode, un truc de devins. Mais en fait, ça m’a vraiment apaisée. J’allais à la plage, regardant la mer, en essayant de me recentrer. Ça ne guérit pas tout, mais ça aide à mettre les idées au clair. Parce qu’avec toutes ces hormones qui font leur cirque, notre mental en prend un coup. Les premiers jours avec Provames, je t’avoue que ça m’à fait un peu flipper. Comme si je tournais dans un manège sans fin. Tu as raison aussi pour le soutien. C’est primordial. Avoir des copines dans le même bateau, c’est précieux. Ça crée une sorte de communauté, une connexion. On se raconte nos doutes, nos réussites, et même nos déceptions. Ma collègue, elle, elle est pleine de ressources. Elle a un humour décapant qui me fait penser qu’il faut rester légère, même dans la tempête. C’est important de se rapeler que l’on ne vit pas cela seule. mes donc, pour en revenir à Provames, je suis un peu comme toi : j’oscille entre espoir et doute. Mais il faut continuer à avancer, à chercher ce qui fonctionne pour nous. Et même si ça prend du temps, garder cette lueur d’espoir est essentiel. Qui sait, peut-être que dans quelques mois, je te dirai que ça a marché pour moi aussi C’est clair !. En attendant, accroche-toi, fais ce qu’il faut pour prendre soin de toi, et n’oublie pas de rire un bon coup de temps en temps. c’est peut-être là la clé . Courage à toi, et partage tes avancées, ça m”intéresse de savoir comment ça se passe pour toi.