Franchement, c’est vraiment pas simple cette histoire de séparation quand il y a un petit bout de chou dans le coin. J’imagine que mon ami doit vivre un vrai parcours du combattant en ce moment. La petite n’a que deux ans, donc tout ce chamboule-tout, ça doit lui faire un sacré effet. Tout ce qu’elle connaît, c’est son cocon familial, et d’un coup, tout change ! Ça doit être dur pour elle, même si elle ne comprend pas encore tout.
Pour ce qui est de la garde partagée, ça peut paraître sympa sur le papier, mais en vrai, c’est pas si facile. Entre les tensions et les émotions, il y a de quoi se sentir perdu. Déjà, il faut se mettre d’accord sur des horaires, des règles, et ça, vu l’ambiance entre eux, ça risque de tourner en rond. Je me demande si mon ami a bien réfléchi à tout ça, parce que ce ne sera pas juste un simple partage. Le bien-être de la petite doit passer avant tout. Elle a besoin de stabilité, même si ce n’est pas toujours évident à gérer avec des parents qui ne s’entendent pas.
D’ailleurs, certaines personnes autour de moi ont déjà vécu des séparations avec de jeunes enfants, et les témoignages ne sont pas toujours très rassurants. Certaines ont réussi à trouver un terrain d’entente, mais d’autres ont beaucoup galéré. D’un côté, tu as les moments où tu dois faire preuve de souplesse, mais de l’autre, il y a des cas où ça dégénère à la première prise de super super tête. Je peux te dire que la colère et la frustration peuvent prendre le dessus si personne ne met un peu d’eau dans son vin.
Il faut aussi partir du principe que chaque situation est unique. Ce qui fonctionne pour un couple peut totalement foirer avec un autre. Parfois, il vaut mieux envisager une médiation, surtout si la communication passe mal. Un professionnel peut aider à déblayer le terrain et à trouver des solutions qui conviennent à tous, même si ça ne marche pas à chaque fois. Et puis, comment gérer la transition de la petite ? Faut pas qu’elle se sente perdue entre les deux maisons. Les routines, les habitudes, tout ça doit rester aussi stable que possible pour elle.
Et puis, un petit détail : il ne faut pas oublier que les grands-parents peuvent avoir leur mot à dire. Ils vivent aussi ça à leur façon et ILS veulent le meilleur pour leur petit-enfant. Ce n’est pas toujours simple de jongler entre les avis, mais leur soutien peut aussi faciliter les choses, surtout en apportant un peu de sérénité.
Le plus important, c’est de s’assurer que la petite ne se sente pas prise entre deux feux. Elle doit savoir qu’elle est aimée, peu importe les conflits des adultes. C’est sa stabilité émotionnelle qui doit primer. Si on veut une garde partagée qui fonctionne, il faut éviter de lui faire subir les tensions adultes. Qu’il n y ait pas de discours négatifs sur l’un ou l’autre en sa présence par exemple. Cela peut sembler anodin, mais pour elle, c’est vital de sentir que ses deux parents l’aiment et la soutiennent, même séparément.
Enfin, j’espère vraiment que tout se stabilise rapidement pour eux, parce que ça va devenir très compliqué si ça traîne. Une séparation, c’est déjà un grand bouleversement, mais quand il y a un enfant en bas âge, c’est un vrai saut dans l’inconnu. Restons positifs et espérons qu’ils arrivent à faire ça dans l’intérêt de leur fille. C’est leur priorité, après tout. Putain…