Carrément, je te suis à 100% . Ces douleurs, c’est un peu comme une mauvaise saga télé, qui refuse de s’arrêter, hein . Deux mois, c’est long. J’en ai eu aussi après une intervention, et je te jure, j’avais l’impression d’être dans une compétition de douleurs avec mon corps. Le pire, c’est quand tu essaies de faire des trucs normaux, et là, paf . Un petit rappel que non, ce n’est pas encore le bon moment pour faire un marathon (comme si j’étais une coureuse, quoi . ). La cicatrice, c’est un vrai mystère, on ne sait jamais exactement ce qui se passe sous la peau. Je suis sûre qu’elle a décidé de vivre sa meilleure vie, à jouer les dramas, en tirant et en picotant dès que ça lui chante. Et les nerfs, parlons-enn . Je crois qu’ils ont pris un congé sabbatique, parce qu’à chaque mouvement, ça se réveille. Pas super fun tout ça. Je me rappelle avoir un peu flippé quand la douleur persistait, me demandant si c’était normal ou si j’étais devenue la doyenne des douleurs chroniques. Mais bon, une fois que j’ai osé en parler à ma doc, tout s’est éclairci. Elle m’a bien rassurée, un vrai air de “tout va bien, c’est juste ton corps qui se remet. ” La communication, c’est vraiment la clef, même si parfois, on sait que ça fait mal de justement parler de ça. Franchement, ne sois pas trop dure avec toi-même, il faut du temps pour que tout revienne à la normale, et chaque corps est différent (heureusement, sinon les chirurgiens s’ennuieraient . ). En attendant, essaie de te chouchouter, mets des compresses, fais peut-être un peu de yoga doux ou cherche des activités où tu peux bouger tout en restant à l’écoute de ton corps. Et si la douleur persiste quand même, hop, un p’tit tour chez le doc et tu vois ce qu’il dit. Et si tu as besoin de décompresser, il y a toujours des séries à binge-watcher ou des gâteaux à cuisiner (qui dit qu’on ne peu pas se faire plaisir pendant la convalescence. ). Allez, courage Comment ça ?. On est toutes avec toi dans cette galère.