C’est vrai, les moules, c’est vraiment le déchirement en ce moment. Rien que de penser à une bonne moules marinières bien assaisonnées, je pourrais en faire des cauchemars. Puis, quand on voit tout le monde en déguster pendant les soirées, ça frustre, je te jure. Mais j’essaie de me dire que c’est pour la bonne cause, même si ça ne fait pas plaisir. Chaque fois que je croise une assiette de moules, je suis là, en mode faux sourire, tout en me disant qu’il y a d’autres délices marins à explorer.
Et puis, c’est vrai que certains aliments un peu plus à risque, comme le fromage au lait cru, passent sous le radar. Je ne sais pas pour toi, mais je trouve ça presque absurde (je sais pas si c’est clair). On nous dit de faire attention aux moules, mais un bon petit camembert qui file, ça peut aussi nous attirer des soucis. Je ne suis pas médecin, mais il y a un moment où il faut se poser et se demander si on n’est pas un peu trop strictes avec nos choix alimentaires. Tout est une question de modulation, et un peu de chocolat noir peut faire des merveilles pour le moral, même si ce n’est pas “officiellement recommandé”.
Cela dit, quand l’envie de fruits de mer me prend, je me rattrape avec des crevettes. Je trouve qu’une bonne assiette de crevettes à l’ail, ça brille dans l’assiette, non . Je les fais juste revenir avec un peu d’huile d’olive, d’ail et une pincée de piment, et c’est la folie. En plus, le bonheur de plonger des bouts de pain à l’intérieur, voilà un réconfort pas comme les autres. Et c’est bien plus sûr, alors je fais avec mes petits plaisirs.
Puis, entre nous, un bon plat de poisson, là, c’est le feu. Que ce soit du saumon, de la dorade ou même une belle lotte, il y a tant de manières de le cuisiner que je n’ai pas le temps de m’ennuyer. Je me SUIS même mise à explorer des recettes que je n’aurais jamais essayé avant. La dernière fois, j’ai fait un curry de poisson, et je te jure, c’était succulent . C’est fou comme la cuisine peut être une belle distraction en ce moment.
Et pour le cheat meal dont on parle, pourquoi pas effectivement. Un petit craquage, ça fait du bien au moral. Je trouve que c’est important d’avoir ces petites soupapes de sécurité où l’on se fait plaisir sans culpabiliser. Après tout, on a besoin de garder le sourire et de se sentir bien pendant cette période. Et puis, il y a aussi ces fameux moments de partage avec les amis ou en famille autour d’un bon repas. On peut toujours réinventer des plats, sans pour autant mettre notre santé en péril.
Sinon, je crois que je vais aussi me lancer dans les desserts sans cuisson. J’ai découvert des recettes de tartes avec des fruits frais qui sont juste terribles. Tout le monde me dit que c’est léger et hyper frais pour l’été. J’essaie d’intégrer des aliments qui me font plaisir tout en restant dans le bon sens. L’idée, c’est de ne pas trop se priver, sinon on finit par craquer sur des paquets de chips à la fin de la journée .
En vrai, je me dis que c’est un moment d’apprendre à apprécier ce qu’on peut avoir, au lieu de se focaliser sur ce qu’on ne peut pas. Je me sens un peu comme une chef d’entreprise de la cuisine maison, en train d’innover, de tester, de goûter. Qui sait, je vais peut-être devenir la pro des plats sans risiko. Alors, oui, les moules, c’est triste, mais après tout ça m’ouvre autant à d’autres découvertes culinaires. Et ça, c’est une belle revanche, non . ohlala