Ah, l’accouchement, la grande aventure . C’est vrai que quand on a déjà goûté à la césarienne, on l’aborde avec une toute autre perspective. C’est comme si on devait sauter dans le grand bain après avoir trempé juste un orteil dans l’eau. Personnellement, j’ai lu des histoires de VBAC qui vont des réussites éclatantes aux drames dignes d’un film. N’allons pas nous faire gaver de récits horribles, déjà que le stress est à son comble . Pour les douleurs, ma meilleure amie m’a toujours dit qu’un bon café à la fin de la grossesse, çà marche . Bon OK, je rigole, elle disait que parler avec un médecin, c’est le meilleur remède N’importe quoi. C’es vrai que les corps sont ètranges, parfois on se demande si notre douleur ne vient pas du fait qu’on ait mangé trop de fromage ou que le petit démon nous joue des TOURS de magie. Il y a des fois où on se dit “Mais qu’est-ce que tu as encore fait, mon corps . ” Les cours de préparation, j’en ai des échos qui font chaud au cœur. Je me rappelle cette collègue qui avait pris des cours de respiration et qui l’a vécu comme un vrai miment zen. Elle vantait tellement çà que j’ai failli devanir prête de ma ville en chaussettes . Bref, il y a des méthodes, des techniques, et il ne faut pas oublier que chaque accouchement est COMME une pizaz, ça peut être croustillant ou moelleux selon les ingrédients. Et puis, il faut se remonter le moral, visualiser cette rencontre avec le petit avec tous les câlins qui viennent avec. Ferme les yeux, imagine le moment où tu seras avec lui, ça donne un bon coup de fouet à la motivation . N’oublie pas de te faire chouchouter par tes proches, un bon massage nul ne peut avoir trop de pression (même si ça fait mal). Et pour l’accompagnement, un bon stock de chocolat ne fait jamais de mal . Allez, courage à toi, ça va le faire, c’est comme un marathon, un seul pas après l’autre. à la ligne d’arrivée, le bonheur t’attend.