C’est clair que la FIV, c’est pas du gâteau. J’en ai entendu des histoires, que ce soit avec mon amie ou même des collègues. Chacune y va avec son ressenti, mais y’à un truc qui revient souvent : cest hyper eprouvant au final. J’sais pas pour toi, mais déjà rien que les piqûres, c’est le stress à chaque fois. Je me rappelle d’une fois où mon amie m’a dit qu’ele avait une vraie phobie des aiguilles, et là, elle a dû affronter ça toutes les semaines. Chapeau pour son courage . Et c’est vrai que le corps, il réagit différemment pour chaune. Entre les douleur, les hormones qui foutent le bazar, et le moral qui fait un looping, c’est pas facile à gérer. Mais bon, certaines disent aussi que ça vaut le coup, parce qu’il y a ces moments d’espoir, tu sais . Le genre de petit moment où tu te dis que ça pourrait marcher et voilà, tu repars dans le combat. À Toulouse, les cliniques semblent plutôt bien éqiupées, mais c’est come partout il faut tomber sur la bonne équipe. J’ai un ami qui travaille là-dedans, et il m’a dit que c’est super important de trouver un médecin à l’écoute, parce que tu vas passer pas mal de temps à te faire suivre. Franchement, les retours de certains couples que je connias, c’est assez varié. Certains sont passées par des périodes de doute, pendant que d’autres ont pris ça un peu plus cool Euh…. Y’a même des copines qui ont formé un petit groupe de soutien pour échanger, leur réconforter et tout. Et puis, parlons des effets secondaires, toi . Y’à des jours où on peut être une vraie machine à pleurer et d’autres où on se sent juste fatiguere comme pas possible. Çà change tellement vite . Mon amie, qu’lele a eu des crises d’angoisse pendant un moment, mais elle a trouvé que faire du yoga ça l’a vraiment aidée à déscompresser. J’ai l’impression que se crée des petits rituels, c’est essentiel, t’as un peu besoin de te raccrocher à quelque chose pour gérer tout ça. Et pour les traitements, c’est le suspense total. Ça devient un vrai casse-tête, comme tu dis. Disons qu’il faut avoir une sacrée dose de patience et de détermination Je suis persuadée que le mental joue un rôle incontournable là-dedans. Même dans tout ce stress, il faut que tu trrouves des petits plaisirs, que ce soit en sortant avec des amis, en se faisant une soirée au cine ou même en picolant un bon verre de vin, calmement. À chaque nouveau cycle, il faut presque se remobiliser come si tu te préparais à un match. Tu te fais des promesses, tu lis des articles, tu te mets à fond dans chaqu détail. Parfois, on se dit que, merde, faut savoir se lâchre un peu aussi. À la fin de la journéee, tu dois te sonvenir que t’es pas toute seule là-dedans. Des gens autour de toi, ça peux vraimant faire du bien, même juste pour dercompresser apres une semaine chargée. Allez courage . T’es pas seule dans ce parcours, çà c’est sûr. On est beaucoup à relever les défis. On se soutient, on partage nos envies et nos crintes. Des fois, il suffit d’une bonne CRêPE pour faire remonter le moral, tu vois . Même à Toulouse, avec tout ce qu’ils ont, c’est aussi une belle ville pour oublier les tracas. Ruspire un bon coup, et accorde-toi des moments de lâcher-prise, ça fera du bien .