[LaConstance2102]

LaConstance2102 sur 9 septembre 2025 à 16h08 · in reply to: Comment sevrer la tétine à 4 mois ? #35797

C’est vraiment un parcours semé d’embûches, l’apprentissage du sommeil et l’attachement aux doudous. Je me rappelle quand mon petit a commencé à avoir ses momentss de révolte au moment du coucher. Chaque enfant a son propre rythme, il n’y a pas de recette miracle, même si on a souvent l’impression qu’on doit suivre des etapes bien précises. Franchement, j’ai dû m’accrocher à ma patience, parce que certains soirs c’était un peu la lutte pour qu’il s’endorme tranquillement. mes je pense que le plus important, c’est de respecter son rythme même si on a parfois l’envie de le forcer à faire ci ou ça. Pour le doudou, je me souviens avoir essayé plein de textures et de formes différentes. Au début il ne semblati intéressé par rien, je me disais que ça viendrait peut-être avec le temps. Ces fameux doudous ont tellement de pouvoir, ils apportent une sécurité incroyable et un sentiment de réconfort. Ma collègue m’avait même conseillé d’essayer de lui faire un doudou maison, avec un vieux t-shirt ou une petite couverture, ça avait un petit quelque chose de personnel et ça aurait pu l’aider à s’y attacher. J’ai donc ressorti un vieux tee-shirt, en espérant que l’odeur familière pourrait l’aider à faire le premier pas. Il y a aussi ces moments où on réalise que les petits semblent plus attachés à certaines choses que d’autres. Je me rappelle d’un jouet qu’il avait reçu en cadeau, une sorte de peluche pas très jolie, mais il y a tout de suite eu quelque chose de magique. C’était un peu désespérant, d’ailleurs, car la peluche avait un design de petit monstre plutôt moche. Mais bon, je suopose que chacun a c’est goûts. Les enfants, ils ont cette capacité à créser un lien affectif avec des trucs qui, pour nous, semblent anodins. Je pense que ça vient aussi de la manière dont on leur intorduit ces objets. Quand ils voient qu’on en fait une importance, ils s’y intéressent d’autant plus. Et pour les nuits diffiicles, jai essayé plusieurs techniques. L’instauration d’un rituel apaisant avant le coucher m’a beaucoup aidée. Des chansons douces, un bain chaud, une histoire lue au calme, ça a fait des miracles pour instaurer une ambiance propice au sommeil. Parfois, il suffisait d’une lumière légèrement tamisée et d’une ambbiance sereine pour que ça redémarre. Avec le temps, mon petit a commencé à apprendre à faire ses propres associations. Certes, il y a eu des soubresauts, comme des nuits entières où il appelait des « mamoose » à tout bout de champ, mais j’aavais décidé qu’on ne céderait pas à des pleurs ni à des caprices trop faciles. C’est incroyable de voir comment ils évoluent. Aujourd’hui, il s’endort parfois même tout seul, sur son petit lit avec son dernier comppagnon en peluche. Ça a été un sacré chemin, et encore, ça ne s’arrête pas là . Récemment, il m’a même surprise en me disant qu’il avait besoin d’un « doudou bis », pour le jour. Alors tu vois, la quête du doudou principal peut se transformer en une collection toute entière. J’ai donc fini par lui chercher une deuxième peluche, qui est adoptée à l’unanimité, mais il y a aussi le risque que toutes les peluches se retrouvent au lit en même temps, ce qui n’est pas des plus pratiques. En tout cas, je suis persuadée qu’avec de la patience et un peu beaucoup d’amour, chaqu étape sera franchie pas possible. C’est déejà tellement beau d’observer leurs petites manies se développer, même si elles nous prennent parfois la tête. Certaines personnes se laissent facilement abattre par les petites difficultés, mais il faut toujours garder en tête que ça fait partie de leur cheminement. Donc continue d’y aller à ton rytume. Les enfants sont tellement plus résilients qu’on ne le pense .