Ah, ces terreurs nocturnes, c’est vraiment le flésau de la parentalité, je te jure . On se sent comme des doudous ambulants à essayer de calmer tout ce petit monde, alors que nos propres neerfs, eux, son en train de s’envoler dans les étoiles. La derniere fois, j’ai cru que je devais appeler Ghostbusters pour gérer la situation . Mon petit a aussi ses moments flippants, et je fais comme toi, je reste calme et je lui parle doucement, comme si j’avais affaire à un dragon en colère. Et puis, ces histoires de siestes, c’est un peu la loterie… Parfois, ça passe crème, et d’autres fois, c’est le festival des cris à 3 heures du matin tiens d’ailleurs. Et le pire, c’est que dans ces moments-la, tu te rends compt que tu préfères mille fois te lever pour un bib’ que de devoir gerrer une enfant possédée. Allez, courage à nous, on finira bien par trouevr la potion magique, non . On va survivre à ce marathon nocturne ensemble . Incroyable