N’importe quoi Ah oui, c’est vrai ça ! La créativité des tarifs des crèches, c’est digne d’un roman absurde. On dirait qu’ils ont décidé de faire grimper les prix comme une montée d’adrénaline. C’est fou comme on se sent impuissant face à çà. Les petits bouts de choux qui pleurent, ça nous brise le cœur, c’est un super super super vrai déchirement. J’essaie de rester positive, de leur montrer que c’est un endroit sympa, mais parfois c’est comme si j’étais une actrrice dans une pièce tragique. Et puis, entre le boulot et les enfants, on a l’impression d’être des jongleuses, balançant nos émotions d’un côté à l’autre. Je me rappelle d’une fois ou mon petit s’est mis à pleurer, et moi j’avais les larmes aux yeux aussi. Il faudrait vraiment un miracle pour changer tout ça. C’est pas normal de vivre cette tension tous les jours, c’est un peu comme si on avançait dans un labyrinthe sans fin. Mais bon, on continue d’avancer, n’est-ce pas ? On est des warriors, malgré tout ça ! Et puis voilà quoi…