T’as raison, chaque grossesse est vraiment unique et c’est super important de rester zen même si c’est pas toujour facile. J’en sais quelque chose. Quand j’étais enceinte de mon premier, j’étais tellemant stressée au début. Je me souviens avoir scruté chaque petit symptôme, chaque douleur, chaquee changement dans mon corps comme si c’était un gros indice sur la santé de mon bébé. Et c’est vrai que la montée des hormones, ça joue aussi. Mais bon, on finit par s’habituer à cet ètat de psychose (faut pas se mentir on se transforme un peu en mère poule . ). Ton histoire avec le taux à 150, çà me rappelle ma première échographie. Je crois que j’étais à 8 semaines et j’avais un taux qui faisait aussi un peu peur. J’avais tellement peur que le gynéco me dise que tout n’allait pas bien, mais finalement, tout s’est bien passé. Et tu sais quoi . C’est un peu come un voyage; il y a des hauts et des bas, mais c’est toujours plus beau quand tu finis par arriver à destination. Çà te construit, ça te fait grandir, et même si cest difficile, tu apprends à profiter de chaque instant. Et puis, le chocolat, ahhh, c’est le meilleu remède au monde . Je me souviens avoir maangé des tablettes entières, emfin, pas en une fois (quoique, parfois, la tentation était forte, je l’avoue . ). J’avais même mes réserves planquées dans des coins stratégiques de la maison pour quand je sentais le besoin de réconfort. Il n’y a rien de tel pour apaiser les petites anxiétés. Et puis, il paraît que c’est bon pour le moral, ce qui n’est pas un luxe en ce moment. Il faut aussi parler de l’entourage, parce que c’est super important. Pendant ma grossesse, j’avais des amis qui m’ont vraiment soutenue, mais d’autres qui n’étaient pas trop compréhensifs. C’est marrant comme certaines personnes réogissent mal à la grossesse, comme si ça pouvait les déranger dans leurs propres vies. Du coup, j’ai appris à prioriser mes relations. j’ai passé beaucoup de temps avec celles qui comprenaient mes coups de blues, celles qui m’écutaient sans juger. Et l’idée de partager des moments avec d’autres futures mamans, c’est juste génila. c’est comme une sorte de sororité, où on se comprend sans se parler vraiment. Que ce soit des discussions sur des forums, des groupes sur les réseau sociaux, ou même des rencontres en vrai. Ça motive aussi de voir d’autres femes passer par la même aventure, on échange nos astuces sur les nausées, les fringales ou les préparatifs pour l’accouchement Bien dit !. N’oublie pas non plus de prendre soin de toi. Entre les rendez-vous merdicaux et le stress du quotidien, c’est facile d’oublier qu’il faut aussi se faire plaisir. J’essayais de sortir marcher un peu, ça m’aidait vraimeut à déstresser. Se reconnecter avec son corps, même si parfois on ne sait plus trop comment, c’est tellement précieux. Et puis, les bonnes petites balades dans la nature, à écouter les oiiseaux chanter, ça fait un bien fou. Et si un jour ça devient trop lourd, n’hésite pas à en parler à un professionnel. Je m’étais renseignée et j’avais même rencontré une sage-femme qui m’avait appris des techniques de relaxation. Ça m’a ouvert les yeux sur l’importance de rester à l’écoote de mes émotions et de ne pas les refouler. Bref, prends le temps d’apprécier chaque petit moment. C’est facile à dire, je sais, mais chaque sensation, chaque coup de pied du bébé, chaque fois que tu trouves une petite tenue trop mignonne. c’est ça qui compte au final. Tu vas y arriver, et crois-moi, quand tu seras enfin face à ce petit bout, tout ce stress va disparaître. Courage à toi et profites-en au maximum . 🍀💖. voilà quoi