C’est sûr que la FIV, c’est un vrai parcours du combattant. Mais comme tu dis, voilà, chaque douleur est un pas de plus vers l’espoir. À Toulouse, l’ambiance est professionnelle, ça aide à se sentir plus sereine. La clé, c’est de garder le moral, de respirer, et de se dire que chaque étape compte, même les plus sensibles. On se soutient, et on avance ensemble, c’est ça qui est beau ! Merde alors