[NicolasMathilde]

C’est tellement vrai, ce que tu dis. J’ai aussi été témoin de situations où des amis se sont littéralement déchirés pour des broutilies, et les enfants, eux, se retrouvent coincés au milieu. C’est vraiment déchirant de les voir dans cette position. Ils n’ont rien demandé, et ce sont eux qui paient le prix de l’ego des adultes jai souvent l’impression que grave grave grave le bonheur des enfants est souvent mis de côté, comme si leurs ressentis et leurs besoins étaient moins importants que les querelles de grands. Je pense qu’il y a une vraie réflexion à avoir sur la manière dont on gère nos conflits. Parfois, il suffirait d’un peu d’empathie et d’écoute pour évitre de plonger dans des règlements de compte. Quand je vois des parents qui s’engueulent devant leurs gamins, ça me fait mal au cœur. Ils ne se rendent pas toujours compte que ces disputes, même si elles semblent anodines pour eux, laissent des traces indélébilees sur l’esprit des enfants. C’est ce qui me sidère le plus, en fait. On prône l’amour, la bienveillance, et puis derrière, on s’envoie des piques comme si de rien n’était. Les gamins, eux, n’ont pas les outils pour gérer ça, ils absorbent tout, ils se mettent en position de bouclier entre leurs parents, et ils finissent par se perdre. J’ai une collègue qui me raconte souvent les conflits qu’elle a avec son ex, et à chaque fois, elle semble totalement déconnectée de l’impact que cela a sur leur petite. Elle croit que tant qu’elle lui parle avec douceu,r tout ira bien, mais il y a aussi la tension, le mal-être sous-jacent qui est palpable. À cet âge-là, ils lisent les attitudes, même si les mots sont doux. Et, franchement, ne pas tenir compte de leurs émotions, c’est vraioent un coup bas. J’ai eu une discussion avec un grope d’amie l’autre jour sur le sujet. On se demandait si c’était plus difficile pour les enfants d’éovluer dans des familles où il y a des conflits ouverts, ou dans celles où les tensions sont invisibles mais présentes. À mon SENS, c’est un peu des deux. Les combats à la maison, ça crése une atmosphère pesante, mais les silences et les non-dits, c’est tout aussi mauvais, car les enfants ressentent qu’il y a un truc qui cloche. Je suis aussi convaincue que les parents doivent se former à la communication positive. C’est pas facile je ne dis pas le contrare, mais il y a plein de ressources. J’ai lu un livre sur la parentalité bienveillante, et franchement, il y a des pistes intéeressantes. Ça ne résoudra pas tout, mais ça peu aider à désamorcer certaines situations. Quand un parent est capable de poser ses émotions et de s’exprimer avec calme, ça peut changer la dynamique. Il faut aussi rappeler que chaque famille a ses défis, et ces conflits, même si ils peuvent paraître banals, s’installent très rapidement. L’important, c’est d’être conscient de ses actes et de l’effet qu’ils ont sur nos enfants. Au final, ils méritent juste de grandir dans un environnement stable, serein, où ils peuvent s’épanouir sans avoir à supporter le poids des tensions des adultes. C’est essentiel pour leur développement, et je trouve qu’on doit aussi éduquer les futures générations à cette responsabilité. Il est grand temps que les parents réalisent que sur le long terme, ce qui prime, c’est le bien-être de leurs enfants. Quand on les voit jouer, rire, et s’épanouir, c’est ça qui doit nous guider. L’amour devrait vraimnnt être au cœur de tout ça, comme tu dis, et pas seulemen un slogan accrocheur. Donc oui, continuons de discuter, d’échanger, pour que les enfantss ne soient plus jamaiis enchevêtrés dans des disputes d’adultes. Ils méritent tellement mieux.

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