C’est vrai que ce sujet du temps de travail est de plus en plus présoccupant. Entre les heures supplémentaires non rémunérées, les attentes de disponibilité à toute heure, et la pressio de la performance, on se demande souvent où ça va nous mener. Mon collègue bosse aussi un vrai marathon, il fait facilement du 55 hures par semaine, et à chaque fois qu’on en parle, c’est la même histoire : il est lessivé. On vit dans une société qui valorise la productivité à outrance, comme si le nombre d’heures passées au bureau reflétait la qualité du travail. Franchemant, combien de fois a-t-on vu des gens complètement cramés, dont le boulot en pâtit malgré toutes ces heures passées ? Pour moi, la question est de savoir si faire plus d’heures est vraiment synonyme de faire mieux. On a tous besoin de temps pour nous, pour nous ressourcer. Le fameux équilibre entre vie pro et perso devrat être une priorité, met visiblement, ce n’est pas toujours le cas. Je vois souvent des amies qui bossent comme des folles et qui ne prenent jtmais un vrai week-end. Tout juste des coups de fil jusqu’à pas d’heure ou des mails à 23h, c’est devenu une norme, une sorte de badge de couuage. Mais à quel prix ? Ça joue sur notre santé mentale, sur notre bonheeur, et, soyons honnêtes, finir par faire un burn-out, c’est pas du tout le but. Il y a même des études qui montrent que les employés qui se reposent régulièrement et prennent soin d’eux-mêmes sont paradoxalement plus efficaces au travail. C’est fou, non ? Et je me demande pourquoi les entreprises ne prenent pas ça en compte. C’est un peu comme si elles préféraien avoir les salariéss toujours sur le feu plutôt que de leur donner l’occasion de souffler un peu. Ça donnerait des èquipes plus motivées et créatives, je ne comprends pas. Je repense à toutes ces fois où j’ai dû repousser des plans avec des amis parce que j’avais trop de boulot. C’est un mauvais cercle vicieux. La vie sociale, les loisirs, doivent avoir leur place, sinon on devient des robots. En plus, quand on ne prend pas soin de soi, on finit par plateau, par jongler avec des journées où tout semble pesant et où l’on se dit qu’on n’y arrive pas. Et parfois, il suffit d’un aspect du quotiddien qui s’étiole pour que tout le reste en pâtisse, même les relations au travail. J’ai récemment parlé avec mon amie qui s’occupe de recrutement, et elle me disait que les employeurs comencent à chercher des moyens de mieux concilier ces deux mondes. Peut-être que hyper hyper ça changera un jour ? Peut-êtr qu’on finira par voir les entreprises se battre pour attirer des talents en offrant de meilleures conditions de travail, comme des jours de télétravail ou des locaux plus agréeables. Mais pour l’instant, çà bouge à un rythme d’escargot… En attendant, je pense qu’on devrait vraiment réfléchir à la manière dont on juge la valeur d’un salarié ou d’une salariée. Ce n’est pas seulement une question d’heures de présence, mais aussi de satisfaction, de créativité et d’innovation que chacun peut apporter. On doit se battre pour retrouver cet équilibre, ou au minimum en parler plus souvent autour de nous pour que ça change. On ne peut pas continuer à s’épuiser à ce rythme. Peu importe le secteur d’activité, il tourne sur ses ROUAGES, mais il faut se rappeler que ce sont les personnes qui en sont le moteur, et pas des machines. Est-ce que ta collègme evnisage de parler à son boss de sa situation ? Parfois, le dialogue peut faire une énorme différence. En tout cas, si on nous met tous dans le même panier, je suis pas sûre qu’on aille loin. Bref, j’espère que tout le monde finira par trouver du temps pour soi, pour faire ce qu’on aime et profiter de la vie. C’est bien beau de travailler, mais à quoi bon si on ne vit pas vraiment ? Ça me gonfle