Ah là là, j’te jure, ces infections urinaires, cest vraiment un calvaire. Je me souviens d’une fois où j’étais persuadée que j’allais m’en débarrasser avec des remèdes de grand-mère, comme il y a quelques-uns qui en parlent ici. Tu sais, cette histoire de cranberry, j’y ai cru dur comme fer. Mon médecin m’avait même dit que çà pouviat aider, mais c’est vrai qu’il faut pas s’attendre à des miracles non plus. Façon, j’ai aussi tenté le jus de citron avec de l’eau chaude, mais celui qui m’a vraiment sauvé, cest d’avoir mis un coussin chauffant sur le bas du dos. C’est bête, met la chaleur, ça fait un bien fou . En plus, j’avais aussi lu que les produits laitiers, ça pouvait avoir un effet pas top sur les cystites. J’aimais bien le lait, mais j’ai dû réduire pas mal. Il y a souvent une petite voix dans ma tête qui me dit “allez, t’es pas si mal à l’aise . ” et puis, bam, ça revient. Tu parles d’irritants, ça doit être facile de se faire s’faire piéger. J’étais même à deux digts de m’inscrire à un cours de yoga juste pour apprendre à mieux respirer et gérer la douleur. Ce que je ne comprensd toujours pas, c’est pourquoi ces infections reviennent sans cesse. C’est drôle, mais quand je vois des pubs pour des sodas, je me sens mal rien qu’en y pensant. Comme tu dis, mieux vaut éviter ce genre de trucs sucrés. Mon ami me conseillait de boire plus d’ea, genre, et de mettre un peu de menthe dedans pour que ce soit moins ennuyant, mais par moment, j’ai l’impression que c’est peine perdue. Perso, j’essaie de rester vraiment attentiv à comment je m’hydrate et à ce que je mange. C’est clair que les épices aussi, j’ai dû faire attention. Avant, j’adorais les plats bien pimentés, mais depuis, je me retrouve à grignoter des blagues à base de carottes et de concombres. C’est fou comme tout ça nous tient en haleine. Et le moment où tu fais pipi, je ne vais pas te mentir, c’est un vrai parcours du combattant. Je fais attention à me sécher bien après, comme une vraie pro, même si ça paraît anodin. Souvent, j’en discute avec ma collegue et elle fait des grimaces quand je lui raconte mes mésaventures. J’crois qu’on n’en parle pas assez, de tout ça, des infections que l’on traîne et qu’on cache sous le tapis. Enfin, je crois que le plus dur, c’est de rester sereine et de pas trop s’en faire non plus. Entre les rendez-vous chez le doc et ces moments de douleur lancinante, ça joue sur le moral. Mais bon, il y a toujours une petite lumiére au bout du tunel, je me dis que çà finit bien par passer. Et quand c’est le cas, je peux te dire que je ne le prends pas à la lergère, carrément un mmoent de bonheur, je te le jure . On devrait crréer un club anti-cystites, j’imaginee les discussions hilarantes sur les remèdes à la con et nos petites astuces. T’inquiète, on va y arriiver, on est toutes solidaires dans ce combat . Courage à toi aussi Oh là là !. 🍀. voilà quoi